Atterrissage caliente à Fuerteventura (4)
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nostagique44, Source: Xstory
... je ne connaissais pas personnellement ; je ne comprendrai jamais ces hommes qui ont la chance d’avoir une telle beauté pour compagne et qui préfèrent coucher avec des hommes. Comme on le dit si bien, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas ! Mais en ce qui me concerne, j’aimais et continue à trop aimer les femmes, les belles femmes, les vraies, les tendres, les sensuelles, qui sont femmes jusqu’à la pointe des cheveux comme celle qui était entre mes jambes, dans mes bras, pour que j’aie envie d’autre chose.
Ingrid me masturbait délicatement de sa main gauche en de longs mouvements lents et doux. De temps en temps, lorsqu’elle tenait ma verge par sa base, elle serrait un peu plus fort et remontait sa main en maintenant la pression, faisant ainsi remonter ma liqueur qu’elle paraissait tant aimer. Mon doigt se trouvait à l’entrée de son vagin. Je l’introduisis lentement sans aucune difficulté, vu comme l’endroit était lubrifié. Ingrid fit entendre un « Humm… » de bien-être lorsque mon index pénétra totalement son vagin.
Elle n’était pas morphologiquement large ou ample ; au contraire, c’était une femme assez mince et son abricot me paraissait tout petit et son vagin assez étroit. Lorsque je poussai mon doigt à fond, je ressentis un renflement, comme deux châtaignes partagées d’un sillon.
— Oh ! Attention, chéri… Tes ongles…
Je ressortais mon doigt.
— Non ! Laisse-le… continue. J’adore ce que tu me fais. Tu es doux et tendre mais je ne suis pas profonde, ...
... et tes ongles sur le col de mon utérus, ce n’est pas ce qu’il y a de plus agréable.
Ingrid continuait à me caresser le sexe. Te temps à autre elle passait la main sous mes bourses, et du gras de ses doigts elle me massait le périnée puis se saisissait de mes testicules, l’un après l’autre, pour en mesurer la grosseur. Elle faisait cela avec tant de douceur qu’à aucun moment je n’ai ressenti quelque douleur ou une gêne quelconque, moi qui suis assez sensible de mes coucougnettes ; et j’y tiens !
Sa bouche avait rejoint la mienne dans un long baiser passionné et explorateur. Nos salives se mélangeaient. Je la sentis pousser un petit « Oouuuh » lorsque j’ajoutai mon majeur à mon index à l’intérieur de son vagin. Quant à mon pouce, il avait trouvé sa place sur le clitoris abondamment lubrifié par la cyprine que ma compagne secrétait. Ce pouce allait de haut en bas, de gauche à droite, décrivant des cercles pendant que mes deux autres doigts entraient en elle et en ressortaient comme si ce fût une queue. Une odeur d’amour, de coït nous enveloppait.
Ingrid commença à se cambrer, à se raidir et à respirer de plus en plus rapidement. Sa bouche se désolidarisa de la mienne :
—Ja, Liebling… C’est bon, ça…Weiter… Continue… Tu vas me faire décoller… Je viens… Ouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Son corps se cambra comme une passerelle japonaise, s’appuyant sur les talons et les épaules. Au bout d’un instant, au summum de son extase, elle me supplia :
— Arrête, chéri ! Je n’en ...