1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (33) : rencontre au forum d’Auguste »


    Datte: 15/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... la douleur de l’entrevue avec Vespasien s’effacent d’un coup. Tullia a faim des baisers et caresses de Titus. Peu importe le regard réprobateur des autres convives et des passants envers cette matrone qui se comporte comme une putain et qui, en plus, boit du vin !
    
    Titus prend juste le temps d’expliquer qu’il a été pendant cinq ans légat en Germanie, puis en Bretagne et qu’il vient de revenir à Rome pour embrasser une carrière d’avocat, alors que son père, très attaqué et désargenté suite à son gouvernement en Afrique, s’est retiré, en disgrâce, dans la maison familiale de Reate dans le Latium.
    
    Tullia et Titus, l’un et l’autre passionnés de poésie et inconditionnels d’Ovide, se retrouvent autour des vers du grand poète. Tullia dit à Titus, citant « l’art d’aimer » : « Il y a mille manières de goûter les plaisirs de Vénus »
    
    En bon Romain, Titus décide de la suite. Il occupe une petite maison à proximité pour ses séjours à Rome. Il prend la main de Tullia, pour l’amener chez lui.
    
    • Te volo! Veni!
    
    Les volets à demi-clos de la chambre filtrent la chaude lumière de cette après-midi d’automne. Voici venir Tullia, voilée de sa tunique flottante, son cou blanc, dissimulé sous un flot de cheveux. Aussitôt s’engage le combat. Titus lui arrache sa tunique. Tullia fait semblant de résister, mais peu de temps. Tullia est devant Titus, debout, nue. Il est fasciné par ce corps toujours parfait, ses épaules, ses bras qu’il contemple et touche :
    
    • J’ai tant rêvé de ce moment ...
    ... quand j’étais chez les Barbares ! Comme la forme de tes seins se prête aux caresses ! Sous cette poitrine sans défaut, quel ventre lisse ! Quelles hanches abondantes et belles ! Quelle jeunesse dans ces jambes. Je ne vois rien qui ne mérite d’être loué.
    
    Il prend Tullia nue contre lui. Les amants ont tant d’années à rattraper. Pas de place pour la tendresse, les baisers, les caresses. Tullia aurait aimé au moins prendre en bouche la verge de Titus. Mais ce dont elle a une envie presque vitale, c’est d’être prise, démontée, saillie. Elle se met à quatre pattes :
    
    • Viens ! Baise-moi !
    
    Et Titus est à la hauteur des attentes de Tullia, sachant retenir sa jouissance, alors que sa partenaire enchaîne les orgasmes.
    
    • Oh Mon Dieu que ça m’a manqué ! Que c’est bon ! Vas-y, mets-la moi.
    
    • Prends-ça !
    
    • Oui, encore !!!!!
    
    • Tu aimes ça ?
    
    • Oh Oui !!!!!
    
    • A qui es-tu ?
    
    • A toi !
    
    • Et je ferai de toi tout ce que je veux !
    
    • Oui, tout ce que tu veux : Je t’aime ! Je suis ta femelle, ta putain, ton esclave !
    
    Titus ne pense plus à l’opposition de son père à sa relation avec Tullia. Il ne pense plus au fait qu’il est marié. Il pense juste à l’instant présent, aux gémissements, aux cris, aux hurlements de plaisir de Tullia.
    
    • Oh Titus, tu me tues ! C’est trop bon ! Viens, fécondes moi !
    
    Titus se répand enfin en Tullia, en de longues et puissantes giclées, laissant la patricienne au bord de l’évanouissement.
    
    Les amants sont insatiables tout au long ...