KEVIN réveille en moi le souvenir de M. Léon [2]
Datte: 14/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: CAULBERT, Source: Hds
... éveillé ma curiosité !
Sur l'invitation de ma mère, je donnais mon accord pour un soutien particulier. M. Léon me communiqua son adresse, ignorant ou feignant d'ignorer que je la connaissait déjà, ainsi que les jours et heures de ses leçons particulières.
Le jour et à l'heure dite je me présentais chez M. Léon. Celui-ci ouvrit la porte après quelques longues minutes d'attentes. Surpris, je constatais qu'il était pieds nus, vêtu d'un marcel bleu foncé et d'un pantalon de survêtement. "Entre, ferme la porte et suis moi". Le ton était doux, ferme mais sans réplique. Il était l'autorité même que j'appréciais chez ce type. Il enchainait " alors petite gouape, tu es arrivé à tes fins ?" Je bégayais "Heu, je ne comprends pas ...". Une main ferme se posa sur mon épaule et, me regardant droit dans les yeux "pendant plusieurs mois tu t'es employé à m'allumer par tous les moyens. Fort intelligemment afin que personne ne s'en aperçoive, mais tu m'as mis dans de sacrés états. Dorénavant, puisque tu es là, on va aller au bout de la démarche que tu as lancé : tu vas apprendre à faire l'amour avec un homme, tu vas être satisfait. Tu vas suivre scrupuleusement mes conseils ". J'étais loin des tendres câlins que je rêvais de faire dans ses bras. Mais peut-être cela arriverait-il le moment venu.
Après s'être allongé dans un canapé, M. Léon m'avait invité à le rejoindre. Je constatais alors une belle bosse à son pantalon de survêtement. Je m'allongeais à ses côtés et me serrais ...
... contre son corps. Très vite ses lèvres s'étaient emparées des miennes en un contact suave, électrisant et très envahissant. Sa langue large, bien humide, prenait possession de ma bouche, s'enroulait autour de mienne. L'érection qui me titillait depuis mon arrivée devenait brutalement insoutenable. De la main, je tentais de desserrer l'étau de mon slip. M. Léon s'en aperçu "Tu sais, je ne suis pas fleur bleue, ce que j'aime c'est le sexe, pas les amourette. Enlève ton futal et met toi nu". Je m'exécutais prestement et revenais me blottir dans ses bras. Puisqu'il aimait le sexe, je m'enhardissais à glisser une main sous son marcel pour titiller une des pointes de ses seins. Constant sa satisfaction, je glissais alors une main vers sa queue. La découverte de sa verge constituait pour moi une nouvelle source d’excitation. Sous mes doigts je sentais une bite de belle taille, sans doute un peu plus épaisse que la mienne et surtout d'une douceur très sensuelle. Timidement j'osais une caresse le long du tube de chair. J'enserrais le gland d'une main délicate et manœuvrais mon poignet pour une branlette tout en lenteur. Pendant ce temps la main de M. Léon se promenait sur mon torse, glissait vers mes fesses en une douce caresse. Brusquement la large main de M. Léon empoignait mes couilles pour les enserrer. Sans prononcer un mot, son visage se dirigeait vers ma bite pour l'engloutir d'une bouche gourmande et baveuse.La manœuvre m'avait surpris d’autant plus qu'il avalait ma bite et mes ...