1. KEVIN réveille en moi le souvenir de M. Léon [2]


    Datte: 14/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: CAULBERT, Source: Hds

    ... j'étais un élève "lisse" en apparence. Je ne voulais surtout pas que mes condisciples et professeurs s'aperçoivent que c'était souvent la "fête du slip " dans ma petite tête !
    
    La découverte du potentiel de plaisir offert par un doigt dans le cul m'avait ouvert de nouveaux horizons. Aussi, lorsque revenant de façon impromptu dans la salle de cours au campus et que je surprenais le mouvement de recul d'un étudiant et d'un prof, ainsi que leur attitude gênée, je m'étais rapidement fait la réflexion que ce qui les avait se rapprocher autant l'un de l'autre devait être plus sexuel qu'autre chose ! J'avais récupéré prestement mon cahier oublié en salle et je m'était éclipsé comme si rien ne m'avait interpellé. Cela déclencha en moi l'envie de draguer un homme adulte pour passer à l'acte. Je jetais mon dévolu sur un de mes anciens prof de français. Il présentait bien, avait la cinquantaine bien tassée, une belle allure d'homme viril, une expression orale douce et assurée, un regard empathique, souriant, et surtout une belle peau que je devinais douce et bien entretenue. Je supposais que le plaisir annal que m'avait fait découvrir découvrir le doigt expert de Simone pouvait potentiellement trouver à s'exprimer dans un corps à corps avec cet homme !
    
    A partir de ce moment, je m'employais à "allumer" les sens de ce type en m'efforçant de croiser sa route. Chose facile dans la mesure ou je connaissais son domicile pas très éloigné de chez mes parents chez lesquels je logeais encore ...
    ... malgré mes 18 ans. Ce monsieur, malgré mes efforts paraissait insensible à mes charmes. J'en étais quitte de me contenter de rêveries érotiques à son endroit qui me menaient dans ses bras, où sa langue fouillait la mienne, où sa salive humidifiait ma rondelle. Je n’imaginais pas encore sa verge mais cela n'aurait su tarder !
    
    Ma quête, longtemps vaine, trouva cependant le succès quelques mois après alors que je croisais son chemin à l'occasion d'une promenade avec mes parents. C'est lui qui pris l'initiative de nous saluer. Inutile de dire que je n'en menais pas large ! Mais mes craintes étaient infondées. Après m'avoir dit bonjour jovialement, il s'est présenté à mes parents comme étant mon ancien professeur de français au lycée, très satisfait de m'avoir eu comme élève. Il s'était ensuite enquit de l'évolution de mon cursus universitaire. Ma mère, toujours inquiète de mon avenir, n'avait pu s’empêcher d'affirmer que tout se passait bien mais qu'elle avait quelque inquiétudes pour le français dans la mesure où mon expression écrite n'était pas des plus performantes à son sens. Monsieur Léon, le professeur, s'était alors tourné à moitié vers moi en disant " qu'à cela ne tienne, il n'aura qu'à passer me voir pour travailler ses quelques points faibles. Il n'y a pas de lacune irrémédiable chez ce jeune homme ! et nous aurons ainsi tout loisir d'approfondir des sujets restés en suspend lors de sa seconde ... ". Une conclusion sibylline, chargée d'un double sens qui a de suite ...
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