1. COLLECTION COCU. Seule pendant le salon de l’agriculture (4/5)


    Datte: 14/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Sophie, ce connard en veut encore, je m’excuse de ce que je vais dire, ça c’était avant la mise à bas de Rosette et de ce qui s’en est suivi.
    
    • Que veux-tu dire, que toi et Sophie, vous êtes ensemble ?
    
    • Oui et non, nous sommes ensemble, mais j’ai le respect de son deuil, ce sera elle qui me dira lorsqu’elle se sentira prête à reprendre notre relation.
    
    En attendant, je vais te parler de Sofiane ta petite fille chérie, tu sais que nous avons le même âge !
    
    Nous courons les conscrits jusqu’en février et le bal que nous organisions suivant la tradition.
    
    En juin, nous allions de ferme en maison pour distribuer des brioches et les saints.
    
    Tu connais le trou de l’enfer !
    
    • Oui, près de l’étang !
    
    • C’est ça, il faisait chaud et nous avions un peu bu là encore et nous avons voulu nous baigner.
    
    Sofiane a été la première à se dénuder, quatre conscrits, trois mâles et une femelle, on l’a défoncé, mais à sa demande, elle était loin d’être vierge, moi je le savais.
    
    • Tu avais déjà couché avec elle !
    
    • Non, ce sont tes adjoints qui se sont vantés de la sauter chaque fois que tu es en mission et qu’elle est seule dans sa chambre de jeunes filles.
    
    J’étais dans ma cage et ils avaient ...
    ... complètement oublié ma présence.
    
    Ta fille adore sucer et se faire prendre en double pénétration, c’est la plus grande salope de notre commune.
    
    Pour conclure, ils ont dit qu’elle t’avait demandé de partir pour Paris pour faire des études.
    
    • Oui, elle part à la rentrée chez une copine qui doit l’héberger.
    
    • Tu remarqueras que mes renseignements sont bons.
    
    Sache que ta fille va faire la pute à la capitale, elle est comme moi pour ses études.
    
    Alors tire-toi grand connard.
    
    Je vois Victor, partir comme l’on dit, la queue basse.
    
    • Gustave, pourquoi lui as-tu parlé de sa fille, j’avais, moi aussi entendues deux femmes parler à la boulangerie que sa fille avait la cuisse légère.
    
    Mais s’était inutile de le ramener plus bas que terre.
    
    • Tu rigoles, il était à deux doigts te violer et pour moi c’est intolérable, même si depuis la mort de ton mari tu es sur la réserve.
    
    • Mais tu es si jeune et moi si vieille.
    
    Il me prend dans ses bras sans que je l’en empêche, il a raison, il faut savoir faire son deuil.
    
    Si Victor, m’avait violé la table de la salle à manger, lui aurait certainement servi, c’est le meuble le plus près.
    
    Je me retrouve les seins sortis de mon corsage, posés sur cette table... 
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