1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19


    Datte: 13/05/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... se regardent et éclatent de rire.
    
    Après une bonne collation où tata fait boire ma gourme à chaque participante et presque une heure de repos, ma tante me demande :-Tu crois que… qu’on peut encore passer à la casserole ? Bien entendu, si la queue de la casserole tient le coup ?
    
    A ces mots, Maelys et ma cousine veulent s’en assurer et testent le manche de la casserole qui met quand même un certain moment à se redresser mais le Viagra fait encore son effet. Je les informe de ce qui va suivre :-Je suis crevé et si vous voulez vous servir du manche, ce sera sans moi ! Mais avant, je veux vous voir toutes les quatre vous caresser devant moi.
    
    Et je me couche sur le dos dans le lit, les mains sous la nuque.
    
    Elles se mettent face à moi et commencent, qui à se caresser le sexe, se frottant le clitoris et enfonçant les doigts dans la chatte puis les portant à la bouche pour les sucer, qui à se tripoter les seins, se pincer les tétons. Je me branle doucement devant elles pour ne pas perdre la forme. Ma mère m’avouant même :-J’adore me toucher devant toi, et je vois qu’on te fait toutes de l'effet.
    
    Dommage que je ne vende pas de tickets pour faire un tour de manège car j’aurais fait fortune dans la soirée. Au prix de 5€ pour un doigtage, 10 € pour un cunnilingus ou une fellation et 20 € pour faire l’amazone sur la bite du « cheval », je me serais fait quelques centaines d’euros …J’ai maintenant un quatuor de gouines devant moi qui se lèchent les fesses, puis le dos, le ...
    ... cou, trempées de sueur comme des possédées. Elles se lèchent le visage et les lèvres, s’embrassent l’une l’autre, doucement, puis fortement, puis férocement, elles ouvrent leurs lèvres pour mêler leur langue et leur salive, s’embrassent à pleine bouche en caressant leurs corps, leurs poitrines aux seins menus ou de bonne taille, le sexe de femmes épanouies ou de jeunes filles affamées.
    
    « Maman » ayant même le culot de me demander :- Est-ce que Monsieur l’étalon est satisfait de sa harde de juments ? On peut maintenant avoir notre récompense ?
    
    Mais elle n’attend pas ma réponse et tacitement avec mes tourmenteuses, elle me regarde avec un sourire canaille qui en dit long sur la suite des festivités, me bande les yeux et se jette sur moi et c’est la foire d’empoigne pour trouver la meilleure place. Je n’ai plus d’autre repère que mes sens pour savoir qui gigote sur ma bite ou me fait goûter les parfums de sa chatte. Je suis comme un supplicié les bras en croix tenus par des mains inconnues pour que je doigte des chattes ou pince des tétons pendant que ma bouche et mon chibre explore d’autres cavités noyées de cyprine. J’arrive à reconnaître en me concentrant chacune des chaudasses, découvrant les parties les plus intimes de ces corps magnifiques. Je ne suis plus que leur objet sexuel, un gode géant dont elles usent et abusent. Heureusement que je n’ai plus aucun effort à faire… Après tous les efforts et mes jouissances précédentes, je ne suis plus qu’un gigolo au braquemard ...
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