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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19
Datte: 13/05/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 19 Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil. -Aïe ! Arrête ! T’es trop gros ! Arrête putain ça fait trop mal ! -Et qu’est-ce que je devrais dire, je la coupe. T’es si serré du cul qu’on dirait que tu vas guillotiner ma teub ! J’attends quand même une trentaine de secondes jusqu’à ce que je sente le piège se relâcher un peu et profite de cette minuscule fenêtre de temps pour planter mon défonce-cul dans le soubassement de ma sœurette, (enfin presque…), sous ses hurlements de truie qu’on égorge. -Oh putain ! Oh putain ! OOOOHHHHoooohhhh ! Il m’encule ! Il m’encule ! Suite :Les décibels décroissent petit à petit à mesure que son anus se détend, acceptant plus facilement mon défonce-cul de nouveau en hyper-érection grâce (ou à cause) du cockring. Je commence alors un balancement de mon corps pour faire glisser sur toute sa longueur ma verge dans ce conduit pas étudié pour ça, accélérant doucement le rythme. Une fois qu’elle commence à gémir, j’espère de plaisir, je la pilonne sans plus aucun ménagement, ahanant comme un bûcheron à chaque coup de hache. Je m’escrime de plus en plus tout au fond du rectum de Maelys qui se contracte comme pour un réflexe de défense à l’agression et me masse le membre sur toute sa longueur. Ma perverse de tante est allée chercher ...
... un gode qu’elle a généreusement lubrifié et me fait subir le même sort que ma partenaire. Je suis en train de limer le cul de Maelys pendant que Nadège me baise le cul avec son gode, décuplant après un moment d’adaptation de ma part un plaisir encore plus violent. Je ne peux plus résister et jouis d'un seul coup tout au fond de ses boyaux en gémissant de plaisir. Maelys est parcouru par une onde de jouissance dans tout le corps et un jet de cyprine suivi d’autres très rapprochés viennent encore plus tâcher les draps après avoir suinté sur mon corps. Je me retire de ce cloaque qui continue à se contracter, expulsant une quantité pas négligeable de mon foutre qui finit sa course sur le pubis de ma belle-mère avant que ma tante récupère le précieux liquide dans un verre. Je ne sais pas si c’est l'avantage de la jeunesse couplé au cockring et au viagra, mais je ne débande pratiquement pas. Mais je ne peux plus supporter cet anneau de caoutchouc et me tourne vers ma tante. -Tata, j’ai trop mal, il faut que tu me débarrasse de ça ! Elle quitte la pièce et revient avec une paire de pinces, demande un coup de main à sa sœur pour ne pas me blesser et attaque par petits bouts le caoutchouc jusqu’à ce qu’il ne reste pratiquement plus rien et que la pression de mon pénis congestionné fasse sauter la digue. -Aaahhh ! Ça va beaucoup mieux ! Maintenant je vais boire un coup et grignoter quelque chose, j’ai une faim de loup ! -De cheval, rectifie Maelys, de cheval ! Elles ...