Dix-huit quinze
Datte: 12/05/2025,
Catégories:
f,
fh,
uniforme,
sport,
avion,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
aventure,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... en position de repos, car mon garde-à-vous manquerait sérieusement de ressort.
— Reprenez-vous, chass’bite Serquet, l’exercice n’est pas terminé. Feu de harcèlement sur ma tranchée intime.
Quelque chose dans sa manière de me vider les couilles avant de remonter au front me laisse supposer qu’elle attend de moi autre chose qu’une fougueuse pénétration. Et qu’une attaque trop frontale pourrait provoquer un contre-feu nourri.
Je m’agenouille donc entre ses cuisses, et après quelques brèves caresses sur sa chatte, je répète les préliminaires dont elle m’a gratifié dans le hamac. Alternant caresses et coups de langue, je recueille la sueur qui s’est étalée sur son ventre, entre ses seins et sous ses aisselles pendant le vol. Elle semble apprécier, s’ouvre comme une fleur au soleil et me laisser accéder à ses zones érogènes préférées. Le goût de sa sueur et l’odeur de son corps m’excitent et me font rebander. Puissé-je rapidement retrouver le 1815 qu’elle m’a attribué !
J’évite néanmoins tout mouvement du bas-ventre qui pourrait laisser supposer que je veux m’enfoncer à la hussarde entre ses cuisses ou ses fesses. Je peux alors apprécier l’efficacité de son soutien logistique, par lequel elle exprime à voix haute ce qui lui fait du bien. Le creux de ses reins et la naissance de ses fesses semblent être particulièrement sensibles. Avec de pareilles collines et d’aussi profonds vallons, elle mérite sa place dans les troupes de montagne.
L’adjudante-cheffe dirige si ...
... bien mes manœuvres qu’elle revient en quelques tours de main au bord de l’orgasme.
Juste avant de décoller, elle essaie d’éloigner ma bouche de sa vulve. Je résiste.
— Faites gaffe, c’est trop bon, je vais gicler…
Tout en continuant à éviter toute pénétration, même digitale, je caresse son clito exactement comme elle l’a fait juste après notre atterrissage. Elle en redemande. Quelques coups de langue entre ses lèvres intimes suffisent alors à provoquer l’orgasme.
Elle est brusquement submergée par un truc qui ressemble à une lame de fond et qui la traverse de manière foudroyante. Les feulements qu’elle pousse et surtout les abondantes giclées qu’elle expulse contre mon visage témoignent de l’intensité de son plaisir.
D’une certaine manière, je me sens moi aussi traversé par quelque chose de jouissif, quelque chose d’émouvant aussi, qu’elle me fait partager au-delà des artifices de la subordination militaire.
Lorsqu’elle s’est peu à peu apaisée, je monte le long de son corps et m’allonge contre elle, une main sur ses obus de charme (au nombre de deux, comme le prévoit la dotation ordinaire des troupes de montagne), l’autre sur son ventre.
Elle prend mon sexe à nouveau raidi entre ses doigts, et murmure des trucs qui n’ont plus rien de militaire.
— C’est bon de vous sentir encore bander. Venez en moi, maintenant. Mais à mon rythme. Je ne suis pas encore complètement guérie et certains gestes peuvent provoquer des réactions assez violentes !
J’embrasse ...