1. Hippolyte


    Datte: 11/05/2025, Catégories: fh, fhh, 2couples, fbi, hplusag, cocus, candaul, grossexe, fsoumise, fdomine, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral Partouze / Groupe fsodo, Humour contes, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... n’avait connu un tel déferlement de jouissances. Des plaisirs brefs, durs et secs. Des orgasmes enchaînés très doux. Des giclées expulsées par sa grotte dévastée. Des jets incongrus et honteux. Des épanchements inconnus de Cunégonde qui avaient aspergé ses cuisses en la faisant hurler le nom du Seigneur, dans une crise de piété proche de l’hystérie. Puis, la honte de se vider d’une telle manière était aussitôt balayée par une autre vague de jouissance violente.
    
    — Assez ! Mon Dieu, Hippolyte ! Pitié ! Pitié s’il te plaît… Hippo… Je t’en supplie…
    
    Cunégonde avait perdu pied. Et plus encore le sens des réalités. Elle avait perdu toute contenance. Comme elle avait perdu toute notion de temps. Un temps bien sûr, qu’elle n’avait pas perdu. Ces petites réflexions avaient amusé la bonne baronne. Toutes ces pertes pour un tel bonheur !
    
    Nue et molle d’épuisement, madame la baronne admonesta gentiment son valet de ferme.
    
    — Au lit… Tu peux me traiter comme la pire des catins. D’autres l’ont fait et j’aime beaucoup… Mais quand je te dirais que j’en ai assez… Tu m’obéiras ! C’est bien compris, Hippolyte ?
    — Oui Cunégonde…
    — Tu as failli… J’ai failli m’évanouir… Tu m’as comblée, mon beau. Je n’ai jamais connu un tel amant… Une telle queue dans mon ventre… Mais vraiment… J’ai cru défaillir, Hippolyte !
    — J’suis désolé, Cunégonde. J’crois bien qu’j’ai perdu l’Nord…
    
    Cunégonde avait posé les yeux sur le sexe de son valet et avait lâché un soupir lourd.
    
    — Fichtre ! Tu ...
    ... bandes encore !
    — Tu m’excites trop, ma Cunégonde…
    — Oui… Je sais, Hippolyte. J’en suis ravie et j’adore te mettre dans cet état. Mais séant… Je suis épuisée… Et je me dois de réfléchir !
    — Réfléchir à quoi ?
    — À nous ! À ton avenir…
    — C’est toi que j’veux… C’est tout !
    — Oui. C’est très flatteur… Je dois y réfléchir, mon tout beau…
    
    Cunégonde avait installé Hippolyte à demeure. Son cher époux, Théodule de Molasse accepterait de se plier au désir de sa femme sous une unique condition. Évidemment, bien plus âgé que Cunégonde, le vieux baron connaissait parfaitement les frasques de Cunégonde. Comme il savait que son épouse l’aimait encore et ce, malgré ses défaillances d’époux concernant le devoir conjugal. Théodule, pour la toute première fois, exigeait d’assister aux ébats de Cunégonde avec l’un de ses amants. Une condition que Cunégonde acceptait sans trop se faire prier.
    
    Le soir tombé, la belle baronne n’en croyait pas ses yeux, découvrant l’impensable. Son cher époux bandait avec une ardeur qu’elle avait oubliée depuis très longtemps. Cette nuit-là, Cunégonde de Molasse fut prise par son époux comme par son amant. Pour la toute première fois, Cunégonde fit l’amour avec deux hommes dans ses bras. Théodule fut étonnant d’endurance et avoua être terriblement excité de voir sa chère et tendre se faire baiser par son valet. Après avoir joui dans la bouche de Cunégonde, le vieux baron était resté à observer son épouse bousculée par son amant. Un peu plus tard, Théodule ...
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