Hippolyte
Datte: 11/05/2025,
Catégories:
fh,
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fdomine,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
contes,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... avait là chambrées et repas, comme bonne bière et bonne chair.
Quelques années plus tard, Adélaïde Gouesnou se décidait à écouter les bons conseils de l’aubergiste et maître des lieux. Adélaïde était appréciée de tous les clients. De par son travail et pour son caractère facile. Mais ce n’était pas seulement pour ces qualités qu’elle était remarquée. L’aubergiste parla de ses autres atouts. Adélaïde était jolie comme un cœur, agréablement tournée et loin d’être idiote. Il lui serait donc très facile d’alourdir sa bourse, si elle se montrait plus futée encore comme de bonne composition. Une proposition que la douce Adélaïde jugea comme une idée intéressante, si pas vraiment morale. La jeune femme savait pertinemment que sa situation particulière serait tôt ou tard, connue par les bonnes gens de la région. Ici comme ailleurs, elle resterait la fille-mère. Une catin peut-être tolérée par ses pairs, mais une catin tout de même. Alors, tant qu’à y être, Adélaïde se décida à rassurer les bonnes âmes sur les choix de leurs consciences. Une fille-mère n’était qu’une putain à leurs yeux. Alors soit. Elle serait une putain !
Très vite, une nouvelle clientèle fréquenta l’aubergeDu faisan braisé. Et très vite, la bourse de la belle Adélaïde s’alourdit, tandis qu’elle vidait d’autres bourses.
Hippolyte, lui, avait bien grandi et travaillait comme valet de fermage dans les fermes alentours. Il aurait pu par ailleurs s’abstenir de toutes tâches comme de tout labeur, aux vues des ...
... rentrées pécuniaires de sa mère. Mais le garçon était fort courageux et préférait se fatiguer aux champs, plutôt que de rester à flâner le nez en l’air alors que sa mère travaillait pour les nourrir. De plus, Hippolyte aimait ce travail de paysan.
Hippolyte était beau. Très avenant de sa personne. Oui, on pouvait le dire sans exagérer. Un jeune homme de quinze printemps, grand et bâti en force. Une tignasse noire jamais coiffée et les yeux bleus de sa chère mère. Un visage d’angelot que l’on pouvait voir comme un brin efféminé, qui contrastait avec un corps de guerrier. Des muscles noueux, un torse puissant et des cuisses musclées.
— Hippolyte la grosse bite ! Hippolyte la grosse bite !
Sobriquet donné au jeune homme, alors âgé de dix-neuf printemps.
— Il paraît que son membre est énorme ! papotaient les commères.
— Un gourdin titanesque… Un soc de charrue ! clamaient les péronnelles en chaleur.
— Oui, oui… Bien sûr que je l’ai vu. Je le jure sur le Christ ! Un chibre terrifiant ! minaudaient certaines femmes de bonne moralité, faisant mine d’être offusquées.
— Que ferais-je d’un si gros morceau ? Un tel organe ne m’enchanterait guère. Ma fleur est bien trop délicate… déclaraient les bourgeoises, décrivant avec force détails ce qu’elles imaginaient et se mordant les lèvres à force d’excitation.
— Mon mari l’est bien outillé aussi. Tout l’monde sait qu’les paysans sont montés comme leurs bourrins. Hé oui, mes commères… J’vous l’dis moi ! ricanaient les femmes ...