Hippolyte
Datte: 11/05/2025,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
Humour
contes,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... d’agriculteurs.
Tout le monde affirmait. Personne ne savait. Aucun n’avait jamais rien vu. Adélaïde y avait scrupuleusement veillé. Elle avait dû batailler ferme pour éloigner des alentours de son fils, donzelles peu farouches, comme nombre de femmes mariées. Son Hippolyte était si beau qu’il attirait la gent féminine comme le miel attirait les ours. Jusqu’ici, Adélaïde avait réussi à convaincre son fils de rester éloigné des filles et des femmes. Mais, elle savait qu’elle ne pourrait plus le faire très longtemps. Parfois, les nuits, elle venait voir son cher fils et s’effarait de constater l’ampleur de la chose qui déformait la chemise de nuit d’Hippolyte. Son père avait pourtant un bien petit chibre. Si à l’époque, Adélaïde n’en avait jamais vu d’autres, aujourd’hui, elle le savait. Jamais, la belle serveuse et putain, n’avait vu un membre aussi imposant que celui dont était affublé son cher Hippolyte. C’était d’ailleurs étonnant. Ce fils, monstrueusement gâté. Ce père doté d’un si petit bigoudi.
Si ce n’étaient pas des ragots, cette vérité était née dans un autre village, il y avait de cela des années. Le passé rattrapait aujourd’hui Hippolyte et sa mère.
Une visite impromptue dans le bourg où vivaient les Gouesnou avait tout déclenché. L’arrivée au village de Balthazar Azimut n’était pas un hasard. L’odieux cureton n’avait jamais digéré la fuite de la fille-mère et de son enfant. Et quand il avait appris que cette gourgandine, non contente d’être un suppôt ...
... de Satan, monnayait ses charmes, cela l’avait rendu fou furieux. Après la naissance du petit bâtard, le bon curé aurait su calmer les esprits de ses ouailles. Il avait eu pour projet de faire d’Adélaïde sa bonne à tout faire. Là, il l’aurait baisée et baisée encore. Le petit bout de femme qu’elle était, affolait les sens du curé. Alors, son projet parti à vau-l’eau, il avait songé à se venger en colportant l’odieuse vérité, là où la garce et son fils s’étaient établis.
Cunégonde de Molasse, baronne de son état, soupesa les bourses énormes et gonflées d’une main ferme, avant de les masser doucement. Si les testicules de son valet de fermage étaient très excitants à caresser, madame la baronne ne pouvait détacher ses beaux yeux bleus du chibre monstrueux. Un membre qu’elle n’avait pas encore osé toucher.
— C’est… ton vit est exceptionnel, mon garçon.
— Oui, m’dame la baronne. Paraîtrait qu’il l’est…
— Il paraîtrait ?
— Ouais, m’dame. C’est c’qui s’dit…
— Comment cela ?
— Vous êtes la première à l’voir m’dame… J’ai point osé r’fuser vot’ demande… Vous êtes là baronne, quoi…
— Oh ! Personne ne l’aurait donc vu cette merveille ?
— Ben si… ma mère quand j’étais môme… Et cette ordure de cureton v’nu balancer ces saletés sur ma mère…
— Ne blasphème pas Hippolyte ! Ce curé ne mentait pas ! Mais j’avoue qu’il ne doit pas être très proche de Dieu… Ta mère est une putain certes, mais une femme bien courageuse. D’autres n’auraient pas la force de supporter l’idiotie de ...