Emprise sur la Ville - Acte 08
Datte: 11/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byAPVapv, Source: Literotica
... gonflait dans l'église comme un nuage s'amoncellant avant l'orage. Jacques Mousatir tira Leila à lui pour l'attacher contre un pilier large en pierre de la chapelle. Chacun pouvait passer près d'elle et profiter de son sexe offert. Bernard de Francouleur, le promoteur, claqua une cravache en cuir sur le joli corps de la maghrébine en l'insultant. Les seins lourds à la peau caramel rougirent.
Aurélie Robin qui avait presque retrouvé sa silhouette d'origine, suçait à genoux l'immense queue de Moussa qui voulait s'enfoncer toujours plus loin dans la gorge de la soumise qui s'évertuait à faire de son mieux malgré l'étranglement. La bave et la morve coulait sur l'épais mandrin du tatoueur black.
Jade et Aya, les deux étudiantes du lycée de Fodé devaient offrir leur petite moule au juge Xavier Brémont qui passait de l'une à l'autre en n'oubliant pas de les fesser. Les deux bouches des jeunes filles de 19 ans se remplissaient de bites passant par là.
La troisième étudiante, la jeune coréenne Jia, sous l'emprise du collier se donnait à toutes les perversités sans pouvoir y échapper malgré le sentiment de dégoût qui lui vrillait l'estomac. On l'enculait, on la fouettait, on l'utilisait. Jeanne Cherline la fista profondément avant d'utiliser son joli visage d'asiatique comme défouloir masturbatoire à son sexe avide.
Camille et Jean-Charles de Charette, les deux époux, subissaient les pires outrages. Dom Pietro violait la femme du maire devant ce dernier qui se faisait ...
... enculer par un homme robuste. Puis la professeure de philosophie se prit la bite de son élève Fodé dans le cul. Le maire offrit son érection à une Maîtresse de la Confrérie qui le chevaucha violemment en le giflant sans arrêt.
S-83, la greffière du juge Brémont léchait l'inspectrice de police qui écabrouillait les testicules d'un soumis debout à côté et qui hurlait comme une bête.
Laura Mucadam ne bougeait pas sur une table à roulettes qui l'avait amené jusqu'au centre de l'église. Sur le dos, les quatre membres attachés, des appareils dans son vagin, dans son anus, sur ses seins vibraient et multipliaient les orgasmes de la métisse. À chaque jouissance, un signal était envoyé à l'appareil qui gérait les électrodes fixées sur tout le corps de Linh, la mère de Laura, elle-même attachée sur une autre table identique à côté de sa fille. Ainsi, la torture imaginée par Jacques Mousatir consistait à électrocuter Linh quand Laura jouissait. Pour la fille l'orgasme, la torture pour la mère.
Charline et Julien Sefredgo, le jeune couple, anciens voisins de Laura Mucadam, regardaient l'orgie sans pouvoir bouger mais en ne comprenant pas ce qui se passait. La drogue développée par Isabelle Labrosse fonctionnait toujours. Ils devaient suivre les ordres sans pouvoir s'y soustraire mais leur conscience n'était pas altérée. Voilà la torture infligée. Marie Mousatir s'approcha d'eux.
- Vous êtes jolis tous les deux. Charline, j'aimerais que ton mari me prenne pour me faire jouir. Tu le ...