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Emprise sur la Ville - Acte 08
Datte: 11/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byAPVapv, Source: Literotica
... fort au fond de sa poitrine. Seule dans une petite pièce attenante à la chapelle, son attente gonflait son angoisse. Mais loin de ses émois de soumise, la pharmacienne patientait avant son initiation. La Confrérie avait organisé cet évènement dans la chapelle du château de Martial Bascoul. L'autel de l'édifice religieux était vide. Tous les membres de la Confrérie portaient un masque blanc et une longue toge noire. La femme de 45 ans fut introduite et placée au devant l'autel avec les yeux bandés. - A ce jour, tu vas devenir une de nos sœurs. Ton obligation servir la Confrérie et soumettre. Jouir et faire souffrir. La voix grave résonnait dans l'immense chapelle. - Acceptes-tu? - Oui. On ôta le bandeau des yeux de la récipiendaire aux cheveux châtains. On fit défiler toutes les soumises et les soumis devant elle. Ils étaient nus, un collier d'acier autour du cou reliés par une chaîne d'acier. L'imagerie de la traite négrière frappa l'esprit d'Aurélie qui lisait les numéros tatoués sur les poignées et sur les ventres. L'esclave noire Aïké apporta un coussin rouge sur lequel était posé une paire de menottes particulière. Un anneau était en or, l'autre en argent. Joséphine Cherline détacha S-51 et lui passa la paire de menottes. C'était Eléonore Bascoul qui apparut la première. Isabelle lui passa les menottes et l'agenouilla devant elle. - S-51, lèche-moi! La proviseure nue, au milieu de ses semblables enchaînés, se pencha et colla sa bouche sur la ...
... vulve de la pharmacienne. La langue tourna autour du clitoris et s'enfonçait entre les lèvres humides. Derrière la pharmacienne, les membres de la Confrérie admiraient le spectacle derrière leur masque et confortablement installés dans des fauteuils de cuir. Isabelle Labrosse clippa un mousqueton à la chaîne des menottes qui entravait S-51. La nouvelle dominante tira sur la corde reliée au mousqueton qui tournait sur une poulie installée au sommet de la voûte de l'édifice religieux. Les bras d'Eléonore Bascoul se trouvèrent tirés vers le haut et la proviseure soumise se retrouva debout sur la pointe des pieds, tout son corps nus tendus verticalement à l'extrême. Quel spectacle le corps d'une femme nue dans la pleine beauté de son âge avec des seins lourds et des hanches vigoureuses prisonnière au centre de la nef d'une église comme substitut sacrificiel! En somme, un christ féminin dont les souffrances ne rachèteraient rien mais nourrissaient que les désirs pervers de ses Maîtres. Sûre d'elle, la pharmacienne de 45 ans saisit un lourd martinet aux nombreuses lanières de cuir. Elle avança vers Cassandre Bascoul, la fille du sacrifice. - Fouette ta mère! La jeune fille se tourna vers sa sœur jumelle à la recherche d'un échappatoire puis vers son grand-père qui siégeait avec les membres de la Confrérie. Mais l'énorme gifle qu'Isabelle lui administra la rappela à son obligation : obéir. Les lanières claquèrent d'abord sur les cuisses d'Éléonore, puis sur les fesses. ...