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On a toujours besoin d'une amie de confiance
Datte: 09/05/2025, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, asie, couple, groscul, amour, Oral pénétratio, initiatiq, Auteur: cvices&delices, Source: Revebebe
... posa sa bouche en haut d’une fesse qu’il commença à picorer, descendant doucement, tantôt vers la chair, tantôt se rapprochant du sillon. Martin était très excité. Il sentait qu’il approchait d’une zone qu’il ne connaissait pas. Il se sentait à la fois fou de désir et à la fois hésitant quant à savoir s’il voulait vraiment poursuivre dans cette voie ou pas. Mais le désir prit le dessus. Il se mit à mordiller doucement la chair des fesses en même temps que ses mains pétrissaient, que ses doigts palpaient et caressaient chaque parcelle de peau, s’immisçaient dans chaque sillon comme autant de terre vierges explorées. Célia mouillait de plus belle de sentir cette bouche et ces mains l’explorer et la fouiller. Ses jambes tremblaient de désir. Elle écarta les jambes comme pour inviter son amant à poursuivre l’exploration plus profondément en elle, jusque dans ses entrailles brûlantes. Martin aperçu les bourrelets charnus des petites lèvres pendant de part et d’autre du mince string qui s’était réfugier au plus profond du sillon de la vulve. Il dut se faire violence pour ne pas se jeter dessus et les presser dans sa bouche tant la vue de ces chairs brunes luisantes le rendait fou. Mais il se rappela le maître mot : faire durer et éveiller le désir du corps. — Je vois tes lèvres appétissantes et juteuses. Tu aimerais que je vienne les embraser et les sucer ? — … — Je sais que tu aimerais bien… Mais tu vas attendre un peu. — … Tu es horrible… tu… C’est si bon. Pris d’une ...
... assurance folle, Martin vint poser sa bouche au creux des reins de la belle cambrée et entama une lente descente à pic vers le sillon fessier, faisant rouler le string sur les hanches à chaque nouveau baiser. Célia sentit la bouche chaude de son amant descendre dans son dos et écarter doucement ses fesses. Une bouffée de chaleur la terrassa en comprenant qu’elle avait sous-estimé l’ardeur de son apprenti et que celui-ci allait la gratifier d’une délicieuse et inespérée caresse. Martin de son côté naviguait en terre inconnue. Sa langue vint aider à la progression de sa bouche entre les fesses de la belle jusqu’à ce qu’il arrive aux contreforts du petit orifice fripé tapis entre les deux imposants globes de chair. Sans l’ombre d’une hésitation, ses lèvres vinrent se poser sur l’épiderme brun plissé et il commença à le lécher. Timidement du bout de la langue d’abord, puis avec hardiesse, jusqu’à commencer à l’enfoncer aussi loin que possible. La sensation exquise de cette langue qui lui fouillait le cul, de cette barbe naissante drue qui lui rappait l’épiderme était insupportablement bonne. Sans y réfléchir, Martin vint glisser une main entre les lèvres dilatées de Célia. Ses doigts caressèrent la chair en rythme, glissant sur les grandes puis les petites lèvres, jusqu’à ce que son pouce remonte à son tour le sillon de sa vulve gorgée pour venir trouver la tête dressée du clitoris. Les caresses combinées du clitoris et de l’anus provoquèrent un orgasme fulgurant en même temps qu’un ...