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On a toujours besoin d'une amie de confiance
Datte: 09/05/2025, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, asie, couple, groscul, amour, Oral pénétratio, initiatiq, Auteur: cvices&delices, Source: Revebebe
... main. — Vas-y, continue, caresse-les, prends-les. Je veux sentir tes doigts dans ma chair. Je suis certaine que tu bandes fort. Si tu savais comme je mouille. — C’est vrai ça ? Mais je n’en n’ai pas fini avec toi. Ta petite chatte mouillée va devoir attendre un peu encore… — Pas trop hein ? J’ai peur qu’elle ait complètement fondu si tu attends trop. Regarde. Elle passa une main derrière pour venir pétrir la queue en érection de Martin et tâter de sa dureté, pendant que son autre main se glissa dans sa culotte et s’humecta de son nectar que vint porter à sa bouche avant de la diriger vers Martin. — Tiens, goûte-moi et regarde ce que tu fais de moi. Le jeune approcha son visage des doigts gluants. Il fut d’abord frappé par le parfum beaucoup plus fort et puissant que celui de Marie-Claude ou d’Émilie. Les effluves lui paraissaient plus complexes et plus épicées. Il huma profondément ce parfum comme pour en détailla chaque essence puis vint lécher le jus sur la pulpe des doigts tendus vers lui. Là aussi, ses papilles furent saisies par un goût plus franc et relevé que ce qu’il avait connu jusque-là. Il sentit son excitation décuplée par cet élixir aux vertus aphrodisiaques. — Ton jus est si délicieux. Donne m’en encore, j’ai soif de toi, de ta mouille. Célia s’exécuta et glissa une nouvelle fournée de phalanges nappées de sa mouille épaisse. — J’ai le ventre en feu, dépêche-toi de m’enlever mon pantalon et ma culotte. Martin et Célia se déplacèrent vers ...
... la table de soin à côté d’eux. Le jeune homme, toujours derrière elle la guida de telle sorte qu’elle se retrouva le buste nu plaqué sur le cuir de la table, ses jambes tendues et sa croupe offerte. Martin joua à faire remonter une main à l’intérieur des cuisses de son amante par-dessus le pantalon jusqu’à presser la vulve juteuse comme un fruit trop mûr. Ses cinq doigts jouèrent à palper pressurer les lèvres gorgées de sang jusqu’à imbiber totalement l’étoffe de mouille. Lorsqu’il estima que ses doigts furent assez humides, il s’accroupit et vint saisir les bords du pantalon qu’il fit descendre doucement sur les hanches. L’élastique descendit centimètre après centimètre. D’un côté puis de l’autre. Il fallut presque cinq minutes pour que le pantalon se retrouve au sol. Cinq interminables minutes pendant lesquelles Célia sentit la chair de ses fesses et de ses cuisses être libérées de l’étreinte du vêtement. Martin resta immobile devant le spectacle de ce fessier imposant, fendu en son centre par une mince ficelle de dentelle rouge. — Tes fesses sont sublimes. Quel cul. On dirait un Courbet. Célia rit devant cette référence plutôt anachronique pour un garçon de l’âge de Martin. — Il te fait envie ? Dis-moi comment il te fait envie. — Mmm…j’ai envie de l’embrasser, de le lécher, de le griffer. J’ai envie de me planter dedans. — Ah oui ? Je ne te pensais pas si audacieux. Mais montre-moi un peu comment tu embrasses un cul. Et de joindre le geste à la parole, Martin ...