On a toujours besoin d'une amie de confiance
Datte: 09/05/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
asie,
couple,
groscul,
amour,
Oral
pénétratio,
initiatiq,
Auteur: cvices&delices, Source: Revebebe
... comme peu de choses. Mais pour ça, il faut que tu la prennes dans tes bras, qu’elle sente ton désir autant que la retenue dont tu sais faire preuve. Il faut qu’à la fin de ton baiser, elle mouille. On recommence. Je te montre et après je te laisse la main.
— Entendu.
Célia vint se plaquer contre le corps de Martin. En dépit de la différence de taille, elle parvint à venir poser une main sur la nuque du garçon et l’autre sur sa hanche. Elle posa doucement ses lèvres sur les siennes qu’elle commença à picorer de légers baisers. Au fur et à mesure, ses baisers se firent plus appuyés en même temps que ses mains attiraient le corps du jeune homme contre le sien puis le relâchaient un peu pour mieux l’enserrer à nouveau. Pris dans le mouvement, Martin repris la main et vint jouer sur la bouche et le corps de Célia. Ses lèvres embrassaient, s’entrouvraient puis s’éloignaient, faisant naître l’envie d’un baiser plus fougueux chez sa partenaire. L’étreinte des corps devenait un peu plus sauvage à mesure que les bouches s’ouvraient et que les langues commençaient à se taquiner, danser l’une autour de l’autre, reculer pour revenir à l’assaut. Martin sentait la tension qui naissait de ce baiser prolongé.
— Pas mal du tout, murmura Célia. Continue. Il faut faire durer, susciter l’envie.
Encouragé, il commença à jouer, à prendre la lèvre inférieure de Célia entre les siennes, puis délicatement entre ses dents, provoquant une onde de désir palpable chez elle. Célia guida une des ...
... mains de Martin plus bas sur sa fesse et la pressa contre la chair prisonnière de l’étoffe.
— Montre-lui comme tu la désires. Il faut que son corps s’impose à ses craintes.
Ajoutant le geste à la parole, Martin devint plus dirigiste, cambrant le corps de sa partenaire, l’embrassant de plus belle et empoignant avec plus de fermeté ses hanches qu’il attirait à lui.
— Maintenant, fait descendre ta bouche doucement sur ma joue, puis de l’oreille, le long du cou.
La voix de Célia se muait en un murmure rauque et il est clair que le désir montait en elle. L’étincelle au creux de ses cuisses devenait flamme qui ne tarderait pas à devenir brasier.
— Tu te rappelles ce que je t’ai dit d’une bon baiser ? Eh bien, on y est. Mais tu vas attendre avant de pouvoir le vérifier. On va prendre tout notre temps.
Commençant à sentir à quel tempo il fallait y aller, et bien que gêné par une furieuse érection, Martin décida de remonter le long du cou plutôt que de poursuivre. Célia se sentait fondre dans les bras puissants du jeune homme qui la gardait plaquée contre lui. Elle sentait contre ses cuisses le désir ardent qui déformait l’étoffe du pantalon de son amant. L’alternance des lèvres chaudes et humides et du souffle dans son cou faisait lentement grandir son excitation. Son sexe lui paraissait se gonfler à chaque nouveau contact sur sa nuque. Oubliant un instant son rôle du jour de novice, elle laissa échapper un« mors-moi » qui fut immédiatement suivi d’effet. Le contact ...