1. On a toujours besoin d'une amie de confiance


    Datte: 09/05/2025, Catégories: fh, fplusag, jeunes, couleurs, asie, couple, groscul, amour, Oral pénétratio, initiatiq, Auteur: cvices&delices, Source: Revebebe

    ... mesure que leur conversation devenait plus fluide. Sans s’en rendre compte, son cerveau commençait à détailler la jolie brune assise en face de lui. La chaleur aidant, la peau ambrée de Célia lui parut d’un coup plus dorée et palpitante. Le sillon profond de son décolleté paraissait exercer un magnétisme de puis en plus fort, comme une mystérieuse gravité l’attirait irrémédiablement. Plus il la regardait, plus il ressentait que la silhouette moelleuse qu’il avait en face l’appelait à la caresser et la pétrir.
    
    — Elle portait en ensemble noir en coton je crois.
    — Et en bas ? String, tanga, culotte, rien du tout ?
    — Euh, culotte je crois.
    — Et c’était votre première soirée ?
    — Oui.
    — Encore une ado, quoi ?
    — Pardon ?
    — Elle se cherche encore. Vu comme tu viens de me la décrire, elle cherche encore son style et n’a pas encore pris pleinement la mesure de sa féminité. Si elle avait eu un peu plus d’assurance, elle aurait choisi une tenue plus sexy et surtout une lingerie au top. Tu n’imagines pas comme on se prend la tête avant un rancard avec un mec pour être certaine de l’effet qu’on va produire. Je ne t’ai pas demandé mais côté épilation, c’était comment ?
    — Plutôt nature.
    — Ça ne m’étonne pas.
    — Mais j’aime bien nature moi.
    — Oui, enfin il y a nature et nature. Quand tu vas dans les jardins de Versailles, il y a de gros buissons, mais ils sont taillés quand même. Ben pour une femme c’est pareil. On peut arborer une toison magnifique mais ça ne dispense pas de ...
    ... soigner les bords et d’égaliser.
    — Je ne pensais pas que les femmes se prenaient autant la tête au sujet des poils de leur sexe.
    — Si tu savais comme les femmes se prennent la tête à cause des convenances sociales que vous leur imposez.
    — Mais je n’impose rien, moi.
    — Je sais, mais quand je dis vous, c’est « Vous » les hommes en général. Parce que de votre côté, c’est clair que vous n’y passez pas des heures. Rien qu’aller à un rencard avec une bite qui sent le savon, c’est déjà trop compliqué. Mais on n’est pas là pour refaire le monde. Revenons-en toi et ta copine. Marie m’a raconté que tu lui as fait un cunni mais que ça n’a rien donné. Étonnant ça. Pourtant, avec Marie, tu as été à bonne école il me semble.
    
    Martin se tassa un peu dans son fauteuil.
    
    — C’est trop simple avec Marie, elle a le feu au cul, gloussa-t-elle. Ton Émilie, elle ne connait pas encore bien son corps. Il faut que tu l’aides à se lâcher doucement. Si tu la désapes et que tu fonces vers son entrecuisse, tu la brusques. Et après, c’est foutu. Bon, viens, je te donner des ficelles pour détendre ta copine.
    
    Célia se leva en direction de Martin qui en fit de même.
    
    — Déjà, montre-moi comment tu embrasses.
    
    Le jeune homme s’approcha timidement et vint poser ses lèvres sur celles de Célia qui le repoussa délicatement au bout d’une quinzaine de secondes.
    
    — Bon, c’est pas mal, mais ça n’est pas avec ça que tu vas l’embraser. Dis-toi qu’un baiser passionné à le pouvoir seul d’enflammer une femme, ...
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