La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1628)
Datte: 08/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... trahissant mes états d’âmes du moment.
Monsieur le Marquis sourit, puis se lève de nouveau, contourne le bureau et s'approche doucement et d'une voix profonde et puissante, m’ordonne de garder la tête baissée par un tutoiement fortement appuyé… Quoi ! Il me tutoie !… Je dois répondre, Lui dire que ça suffit, que je vais partir, que tout ça ne sont que des suppositions approximatives… mais tout s'embrouille si vite dans mon esprit que je reste la tête baissée, avec ce besoin puissant d’obéir qui justifie cette docilité qui me surprend. Alors, je ne sais pas ce qui m'arrive, la tête baissée, mon corps tremble et en plus je me mets à bander encore plus fort. Le Maitre des lieux le voit et sourit.
- Maintenant écoute bien, soit tu quittes ce bureau immédiatement, tu finis ton travail ici et je ne veux plus jamais te revoir.... ou.... (Et là un long silence qui n'en finit pas et que je n’oublierai jamais).... ou tu Me montres enfin ta véritable nature de soumis que tu as enfoui depuis trop longtemps.
Je suis sidéré, je suis paralysé, j'ai envie de partir, de me sauver en courant comme j’ai aussi envie de rester par cette chaleur au fond du ventre qui rend mon sexe dur et érigé et que je ne peux pas calmer. Un besoin inavouable me bloque, me taraude l’esprit, alors que je tourne tout cela dans ma tête. Monsieur le Marquis me sort de ma torpeur en me disant d'une voix autoritaire....
- En d’autres termes, tu dégages ou tu te mets à genoux, devant Moi. Immédiatement ...
... !
Je suis prêt à partir mais une force irrésistible me force à me mettre à genoux. J’en ressens le besoin malgré moi ! Alors, je me baisse et me voilà à genoux, moi meneur d'hommes dans mon métier, macho dans ma maison et envers les femmes, je suis à genoux, tête baissée. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je ressens un bien-être fort à ce moment-là, toujours mélangé par une honteuse gêne face à la situation me rabaissant en cette position. Le Noble savoure.... Il me regarde, ne dit rien, mais je ressens encore et encore ce bien-être au fond de mon ventre. Il me laisse ainsi bien 5 ou 10 minutes, je ne sais plus, je suis hors du temps. Le Maitre des lieux tend alors Sa chaussure et me dit :
- Maintenant, tu vas embrasser ma chaussure, espèce de salope !
Je suis insulté, traité de salope mais je ne peux empêcher mon corps de se pencher … Mais comment puis-je faire cela ?…. Je pose un baiser sur la chaussure parfaitement cirée de Monsieur le Marquis. Puis l'autre chaussure posée au sol apparaît sous mon visage....
- Embrasse, salope... (Je me dis que non c'est trop... Mais Sa Voix résonne) .... Embrasse, espèce de chien !
Je me penche alors et j’embrasse cette chaussure sans même réfléchir, comme si obéir à cette injonction devenait une évidence qui me fait tant du bien. Ma verge en ressent les bienfaits en tout cas, car mon érection est, à ce moment-là, au zénith et me gêne sous mon slip qui ne peut contenir ma queue si gonflée et si raide. Je suis anéanti et à la ...