La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1628)
Datte: 08/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Mattieu au Château – (suite) –
- Que faites-vous ici ?…
Je sursaute, je tremble, me retourne et à l'embrasure de la porte, je vois apparaître un homme, grand et visiblement d’un charisme fort, avec des yeux d’un bleu parfait au regard profond, comme jamais je n'en ai vu. Un regard sévère, perçant devant lequel je me sens, tout à coup, tout petit. J'espère au fond de moi qu'il n'a pas vu mon émotion et ma fascination, mon érection devant ces tableaux. Mais c'est mal connaître Celui qui se trouve devant ma petite personne et qui a tout de suite repéré mon trouble et même cette bosse dans mon pantalon, qui au son de sa puissante voix s'est ramollie.
- Que faites-vous ici, pour la deuxième fois !, Sachez que je n’aime pas Me répéter
Une phrase cinglante : ‘‘Sachez que je n’aime pas Me répéter’’, cinglante et percutante, qui me fait de suite trembler comme un gamin contrit, fautif à qui on aurait surpris en train de voler quelques bonbons ! Moi qui pourtant contrôle toujours les événements, moi qui dirige toute une équipe d’électriciens, habitué à commander, à donner des ordres… Alors j’essaie d'expliquer à ce Monsieur que j'ai suivi un câble électrique et que je suis envoyé par ma société. Mais j'avoue que devant le Charisme puissant, la Prestance de cet homme, je perds à l’évidence tous mes moyens. Alors que je finis d'expliquer ma présence en cette pièce, c’est d'une voix qui ne laisse aucun choix, qu’Il s’impose laconiquement avec une froideur parfaitement ...
... maîtrisée dans son intonation vocale avec un :
- Silence ! Suivez-moi dans Mon bureau.
J'ai envie de l'envoyer promener et de partir, après tout je n’ai fait que mon métier ! Mais je ressens dans cet homme peu commun, du moins c’est ce que je constate du premier regard, une puissance irrésistible et une forte attirance envers Lui que je ne comprends absolument pas, mais qui me donne encore des frissons. C’est donc contre ma volonté, mais avec cette incompréhensible attirance que je le suis dans ce couloir capitonné de larges tentures bordeaux. Puis on monte deux étages et après un dédale de couloirs, on se retrouve dans un immense bureau richement décoré, magnifiquement garni par des meubles stylés et d'époque et par des tableaux somptueux, il m’a même semblé reconnaitre un tableau de Monet. Une grande bibliothèque est accolée à ce bureau et la double-porte y accédant est largement ouverte laissant apercevoir une multitude de hautes étagères encombrées de milliers de livres. Cela me montre combien cet homme doit être instruit et cultivé. Je le vois se placer derrière Son bureau et s'asseoir dans un confortable fauteuil de cuir. Je reste debout comme un gamin pris en faute, je me sens tout à coup très mal et j'ai envie de partir quand je l’entends me dire sur un ton un peu plus adouci, mais avec un regard fixe et impassible, comme s’il pénétrait mon âme :
- Savez-vous qui je suis ?
- Non et je vous prie de m’excuser d'être entré dans cette pièce.
- Silence, me ...