1. Une semaine en Ecosse


    Datte: 08/05/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... défaire, ni celui-ci sortir de mon trou définitivement béant. Je ne remarquais rien, perdu dans une fièvre de douleur. Maitre installa une fuck machine très puissante bien en face de mon trou, et y fixa le pieu après l'avoir bien huilé. Il vérifia le bon alignement et lança le moteur pneumatique de la machine. Je sentis alors mon fondement se faire envahir profondément, jusqu'à ce que le pieu cogne au fond, puis déjà se vider, comme aspiré. Progressivement la vitesse augmenta, mais la profondeur resta la même, je me faisais défoncer alors que mon cul était déjà tout cassé et brisé par ces heures de dilatation. Je ne savais plus où j'avais le plus mal, d'autant que mon sexe fut attaché à la machine, et étiré à chaque fois que le gode sortait de mon cul, enfonçant sadiquement les pointes dans mon prépuce déchiré.
    
    Maitre vint se poster devant moi, me forçant à relever la tête, il m'urina longuement, sans que je ne perde une seule goutte, bien conscient que je jouais là ma vie. D'autant que j'avais très soif à force de crier. J'étais faible, violenté de toutes les façons, et je ne pensais qu'à le satisfaire en buvant tout. La tête me tournait, sans doute du jeûne, mais aussi des drogues qu'Ils m'avaient données. Maitresse défit le bâillon anneau que je portais, me soulageant à peine puisque mes muscles étaient tétanisés. En prenant son temps, Elle m'enfonça un bâillon en forme de sexe, qui alla au-delà de ma glotte et s'enfonça dans ma gorge. Je devais me concentrer pour ...
    ... respirer correctement par le nez, la sensation était paniquante. Il fallut à nouveau serrer fort le bâillon autour ma nuque, je ne savais plus à quel tourment me consacrer. Maitresse me susurra dans l'oreille, sous ma cagoule dégoulinante de sueur qu'Ils viendraient voir dans quel état j'étais dans 12 heures, pour me libérer au plus tôt dans 24 heures. Je ne pouvais rien répondre à cela, juste m'enfoncer dans ma solitude masochiste.
    
    ***
    
    J'avais tenu les 24 heures, mais je ne savais pas comment et surtout ne m'en rappelait absolument pas. Je me réveillais dans une cave sans lumière, allongé sur un lit en pierre, et sans surprise, totalement entravé. Je sentais à peine mon corps, flottant dans les vapeurs opiacés, rempli de ce bonheur d'être en vie. Certainement pas sauvé, mais en vie. J'étais ivre d'amour pour mes tortionnaires, rien qu'à Leur pensée je sentais mon sexe s'ériger. Hélas l'affreux anneau était encore là et la souffrance procurée toujours aussi terrible. Mais cette fois-ci je la reçu pleinement, ne cherchant pas à calmer l'érection, mais au contraire à la nourrir pour éprouver ma souffrance, Leur offrir cette souffrance.
    
    Après un temps que je n'aurais pu évaluer, Maitresse apparu, sans un mot. Je baissais simplement les yeux pour La saluer, ne pouvant rien faire d'autre. Elle me libéra les mains, les pieds, me fit me redresser, difficilement. J'étais assis sur ma couche dure, et Elle me fit boire un biberon remplit d'un liquide que je n'aurais pu qualifier, ...