Une semaine en Ecosse
Datte: 08/05/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... parking. La voiture est dans un endroit retiré, il y a très peu de monde. Le coffre est ouvert, il est vide ou presque. Je me déshabille sans même prendre garde si je suis seul, c'est rapide. Puis je cherche à tâtons dans le coffre, j'en retire une cagoule en latex que j'enfile difficilement, je ne vois plus rien, je panique un peu avant de trouver les trous pour la respiration. Le bâillon boule trouve rapidement sa place, je le sers très fort comme demandé. Les menottes sont là, c'est ma dernière possibilité de reculer. Pourtant je n'hésite pas, mon premier poignet est cadenassé, mes mains dans le dos, je galère un peu pour fermer la seconde partie des menottes, me voici sans défense, m'étant moi-même jeté dans la gueule du loup.
J'aime cette folie, cette perte totale de contrôle. Je rentre en aveugle dans le coffre, je ne vois rien. Je sens la ficelle mise à mon intention, je claque le coffre, m'enfermant dans un silence noir. Je ne sais où je vais, ni avec qui. Et pendant un long moment je me demande même si je vais aller quelque part. Le demi-sommeil, qui m'accompagné depuis deux jours avec ces cachets que je prends de façon très scrupuleuse, me rejoint. J'ai l'impression qu'il s'est écoulé des heures lorsque j'entends des talons de femme s'approcher, des voix échanger, deux portes claquer. Un instant de doute, puis le moteur qui démarre, je suis en route vers une semaine d'enfer.
***
Je n'avais aucune idée de l'heure, je ne voyais de toute façon rien du tout. La ...
... douleur dans les bras était très forte, tout comme celle de mon anus distendu. Je me demandais s'il resterait ainsi toujours béant, en ignorant que mes tortionnaires iraient beaucoup plus loin encore dans la béance de ma chatte comme ils l'appelaient.
La voiture s'arrêta après des bruits de graviers, les portes s'ouvrirent, le silence m'envahit à nouveau, le temps recommença sa course folle. Puis j'entendis le coffre s'ouvrir, deux bras forts m'aidèrent à m'extirper, je flageolais sur mes jambes, les pieds cisaillés par le gravier coupant. Un large collier que je devinais en métal fut serré à mon cou. Il était ajusté, je comprenais les dimensions qui m'avaient été demandées : il était fortement serré en pressant un peu mes carotides, mais pas assez pour m'étrangler. Mais la sensation était paniquantes, je respirais pour garder le contrôle. Un clic et l'engin fut verrouillé. Une chaine y était accrochée, et la traction qu'une main, que je ne connaissais pas, créa, me fit partir vers l'avant. Je suivais tant bien que mal le chemin qui m'était montré, aucun mot n'avait été prononcé (moi je ne pouvais pas avec mon bâillon dans lequel je bavais très fortement), je ne voyais rien, ma tête tournait, j'avais envie de pleurer, de me lover dans ces bras réconfortants. Ce n'était pourtant pas le programme. Un fort sentiment de déréliction me prit.
Après avoir monté des escaliers en pierre, être entré dans la demeure, nous étions montés à l'étage, avec des tapis qui recouvrait les ...