Une semaine en Ecosse
Datte: 08/05/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... d'une serviette, avant de me le tartiner d'un gel épais. Mon repos ne serait que très court. Lorsque je sentis le contact de l'objet, je me mis à paniquer, il était dur, très épais, jamais il ne passerait. Il s'agissait d'un cylindre en bois ou autre, très dur, et d'une épaisseur que je n'avais jamais avalée ou presque. Maitresse me rappela que je Lui avait dit un jour dans nos échanges avoir pris un gode de 8 centimètres mais que je ne l'avais supporté que quelques instants. C'était cette taille que Maitre enfonçait maintenant inexorablement dans mon cul déjà maltraité.
Je hurlais dans mon bâillon, sans pouvoir bouger ni me défendre. Maitre retira un instant l'engin, me permettant de respirer un peu. J'aurais voulu les supplier, mais je ne pouvais rien faire, rien dire, tandis que l'engin revenait déjà me fendre en deux. La douleur était intolérable, j'attendais le renflement du plug pour être un peu soulagé, mais celui-ci ne vint pas : il s'agissait d'un cylindre qui était maintenu par une ceinture qui me fut fixée très serrée à la taille, le maintenant en place sans aucun soulagement. Je m'imaginais dans ma position indécente, avec un pieu en bois de 8 centimètre sortant du fondement, hurlant comme un dément. Ils reprirent leurs ébats, Maitresse terriblement excitée par mes cris et mes hurlements, je l'entendis jouir plusieurs fois. Je n'avais plus de voix. J'étais à peine arrivé que j'étais déjà détruit, et terrorisé de ce qui m'attendait. Cette fois-ci j'étais allé ...
... trop loin dans la prise de risque. Peut être tout ceci était pour m'impressionner? En même temps ils avaient tant de chose en leur connaissance que j'en doutais.
Je n'entendis plus de bruit, Ils semblaient s'être endormis, oubliant leur chose horriblement dilatée. J'aurais voulu comme Eux dormir, mais cela m'était impossible, je pleurais dans ma cagoule de latex.
***
Combien de temps s'était-il passé? Impossible de le savoir. J'aurais cru que la douleur s'apaiserait, mais elle était au contraire de plus en plus présente, délirante. J'entendis des mouvements derrière moi, les lanières de mes poignets et de mes chevilles furent retirées sans un mot, ma chaine détachée. J'étais courbaturé. Une tension sur la chaîne me fit comprendre que je devais me mettre à 4 pattes. Maitresse m'enleva mon bâillon, ma bouche resta ouverte, incapable de la refermer. Je l'entendis me dire qu'à force de porter des bâillons de plus en plus larges, mes muscles s'adapteront et que je resterais ainsi la bouche définitivement ouverte.
J'appris qu'avec l'aide d'un chirurgien, j'aurais de petites cales au fond des dents pour bien bloquer cette mâchoire devenue ainsi inutile. Elle ne le vit pas, mais je pleurais sur mon sort, tandis que l'effet des médicaments rendit mon sexe terriblement dur dans sa cage d'acier. Maitresse rit en s'en apercevant et m'appris que ma cage serait recouverte de pointes acérées à l'avenir. Ma bouche était sèche, je sentis une chaleur s'approcher de mes lèvres, et je ...