1. Les Expatriés - La Bamboula


    Datte: 07/05/2025, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... ouverte. Quelque chose a jailli. Il s'étouffa. Suzanne gémit, un cri rauque et un flot de jus se déversa sur sa langue et dans sa bouche.
    
    Ce n'était plus ses jus suaves. C'était âcre, épais et viril. Il lutta pour se libérer, mais Suzanne était déchaînée et l'entraînait dans sa folie.
    
    « Oh, putain, c'est si bon » haleta-t-elle.
    
    Thomas ne pensait pas que c'était si bon. Sa bouche se remplissait des jus qui coulaient maintenant à flots. Contre sa volonté, il sentait le liquide âcre et visqueux couler dans sa gorge.
    
    « Lèche ! Mieux que ça ! » exigea Suzanne. Ses mains tiraient sur ses cheveux. Ses cuisses emprisonnaient fermement sa tête. Il allait s'étouffer. Il déglutit, se débattit et sortit sa langue. C'était le seul moyen pour lui de ne pas mourir asphyxié ! Sa langue plongea dans la chatte souillée. Elle relâcha sa prise.
    
    « Continue de me lécher ! » Il ne l'avait jamais connue aussi dominante et tyrannique.
    
    Sa langue était maintenant chargée de jus mélangé. Il lapait, craignant de s'arrêter. Suzanne haletait, ses hanches broyaient sa chatte sur la bouche de Thomas. Thomas était écœuré par cette odeur âcre et lourde, le mélange des jus barbouillait son visage. Il était vexé. Il était dégoûté. Mais il avalait. Il acceptait cette humiliation dégradante. Fasciné et penaud, il était excité et en érection. Agenouillé aux pieds de sa femme, il lapait et suçait le sperme d'un autre. Le sperme d'un noir !
    
    Humilié, bafoué, outragé. Mais il était en érection. ...
    ... Exalté et ravi. Inexplicable.
    
    Suzanne le repoussa.
    
    « Dieu que c'était bon! Il a joui si profondément que j'ai cru que ça n'allait jamais ressortir... »
    
    Un coup fort à la porte les fit sursauter. Suzanne tressailli et poussa un cri.
    
    « C'est lui ! Va lui ouvrir ! » Son visage était tendu d'émoi et d'empressement.
    
    Thomas bondit sur ses pieds pendant que les coups à la porte continuaient. Presque envoûté, il s'est précipité vers la porte. Il l'ouvrit juste avant qu'il ne la défonce. Pierre Thorons s'est engouffré dans la maison. Il pleuvait dehors. Il regarda Thomas. Puis son visage rayonna.
    
    Il frappa Thomas sur l'épaule : « Bon gars ! Gentil garçon ! Tu l'as nettoyée pour moi ! »
    
    Il passa devant Thomas qui se tenait tétanisé d'horreur. Il a passé sa main sur son visage barbouillé de foutre. Oh mon Dieu ! Son patron l'avait trouvé le visage souillé. Un cocu soumis, une lopette, voilà ce que son patron pensait de lui !
    
    « Ne reste pas planté là, mec. Apporte-moi une bière » Il jeta ces mots par-dessus son épaule en se dirigeant vers la chambre. Thomas se secoua et regarda Pierre qui entrait dans sa chambre en claquant la porte derrière lui.
    
    Thomas se précipita dans la cuisine pour récupérer quelques bières dans le réfrigérateur. Il s'arrêta, indécis, devant la porte fermée de la chambre. C'était ridicule, pensait-il, mais il hésitait. Il était chez lui, devant la porte de sa propre chambre, et il hésitait. Pierre était de l'autre côté de cette porte avec sa ...