« Josy » La petite salope à la recherche d’un emploi. Épisode 4
Datte: 05/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... littéralement saoulé, elle ne savait plus ce qu’elle avait fait exactement, sauf que Roger avait profiter d’elle avec ses potes : « Et Marius dans tout ça ? » Lui demandais-je. Maman ne lui en voulait pas, il n’avait rien à dire, Roger était un tyran, il l’aurait démoli sur place, s’il avait, ne serait-ce dit, un seul mot :— Je l’aimais bien tu sais mais lui ne pensait qu’avec sa queue.
Ma mère n’avait rien dit à ses grands-parents, néanmoins comme elle ne prenait pas la pilule, elle était allée raconter cette histoire au docteur le lundi matin. Celui-ci lui déconseilla de porter plainte, car Roger était un personnage très connu dans la région et c’était sa parole contre la sienne et lui dit : « Tu as bien garder l’argent qu’il t’a donné. Comment vas-tu l’expliquer aux gendarmes ? » À partir de là, André lui proposa de venir chez lui travailler comme servante. Ce docteur de bonne réputation, vit là une belle opportunité. Vivant seul à la maison, il pouvait bénéficier d’une jolie jeune fille d’une vingtaine d’années à sa disposition.
En effet, si lors des premiers jours, il était avenant et très gentil, il comprit rapidement que Colette était en manque d’affection et recherchait un homme pour la protéger, elle et sa petite fille. C’était exactement ce que pouvait apporter le médecin, de plus en plus tactile avec sa soubrette, il n’hésitait pas non plus à lui montrer toute l’attention qu’il portait à la petite Josiane. Colette n’était pas très instruite, mais elle était ...
... loin d’être bête, elle s’aperçut rapidement que le docteur ne recherchait pas qu’une servante.
À cette époque, André à 46 ans était dans la force de l’âge et ne déplaisait pas à Colette qui en avait connu des pires et s’il fallait qu’elle couche avec lui pour que sa fille ait la possibilité d’avoir un bel avenir, elle était prête à apporter à cet homme le plaisir qu’il recherchait. C’était loin d’être un sacrifice car il était encore un bel homme. Le premier vendredi pendant le diner, le docteur avait eu la main quelque peu baladeuse, sans toutefois avoir des gestes déplacés. Il avait lancé les premières brindilles et Colette n’avait rien fait pour l’en dissuader.
Après le repas André lisait sur son fauteuil, avant de sortir de la cuisine, Colette déboutonna le col de son corsage, laissant apparaitre un peu de son sillon mammaire et avait retroussé la ceinture de sa jupe afin de la rendre plus courte. Comme tous les soirs, elle apporta ainsi le thé et se baissa devant lui pour poser le plateau sur la table basse : « Désirez-vous autre chose docteur ? » Lui demanda-t-elle en prenant sa voix suave et chaude, dans une position lascive.
Cela n’avait pas échappé au médecin qui ne l’avait pas quitté des yeux, sa vraie nature de mâle dominant ressurgit, il avait envie de la baiser, Colette l’excitait depuis qu’il l’avait vu dans son cabinet. André l’attrapa par le bras et l’attira à lui. Il passa sa main sous sa jupe, la posa sur ses fesses en disant : « Oui ! J’aimerais ...