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Noémie la renifleuse de queue à la FAC - LE GARDIEN A LA BITE SALE Partie 3
Datte: 01/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SMART77, Source: Hds
... mouillais. Je préférai les jeunes jusque là, mais ce vieux bedonnant attisait tous mes sens de salope d’étudiante. Et son odeur dégageait une sexualité que j’avais envie de m’offrir à lui tout entière. Face à moi il débraguetta son pantalon. À cinq centimètres de mon nez des senteurs de vieille bite sale s’évaporèrent. Il sortit un gros morceau court, mais très large, foncé et broussailleux à la base. Son prépuce recouvrait tout le gland qui laissait juste le trou de son urètre apparaitre. — Mets ta gueule au-dessus des chiottes ! Je le regardai d’un air dégouté. — Non, s’il vous plaît pas ça… — Dépêche ! Et c’est monsieur Robert ! — Mais Monsieur Robert… — Y a pas de maïs. Je vais me fâcher ! Place ta face de pute au-dessus j’ai dit ! Son ton ne laissait aucune alternative. Je n’aimais pas du tout l’uro et ce vieux salaud s’apprêta à me souiller de son urine dégueulasse. — Voilà, c’est bien, ne bouge plus, ferme pas les yeux et tiens tes jolis cheveux. J’ai pas envie de les salir. La tête au-dessus d’une flaque jaune je m’exécutai. — Ah… voilà, ça soulage Je sentis la pisse chaude couler sur ma joue. — Mmmm voilà tiens on nettoie bien tout ce foutre… Il faisait aller venir le jet de haut en bas et de gauche à droite. C’était chaud et puant, des gouttes coulaient sur le bord de mes lèvres, mais par chance il ne me demandait pas de boire. — Change de côté, magne-toi ! Voilà, allez on fait l’autre joue maintenant. J’étais ...
... humiliée comme jamais, mais jamais ma chatte n’avait autant bouillonné. Ce pervers m’excitait avec ses mots crus et à se servir de moi comme une vulgaire chiotte. Petit à petit le flot s’atténuait et il me laissa redresser ma tête hors de la puanteur du fond en céramique. — Voilà toute propre la demoiselle. Merci qui ? — Merci monsieur Robert. Il rangea son énorme engin sans me laisser le contempler en entier et vint me caresser le visage. Je reconnus aussitôt l’odeur de sa bite. Adoratrice de parfums de queue, tous mes sens se trouvaient en éveil. Je sentais ma chatte couler d’excitation pour ce gros dégueulasse. Il me saisit par ma tignasse pour m’amener devant le miroir. Courbé sur le lavabo, la jupe relevée, il avait un accès direct à mes deux trous de chienne en chaleur. Je sentis le bout de ses ongles glisser le long de ma fente recouverte de mon tanga. Je fus pris d’un souffle court quand il exerça une pression sur mon clito. Il retira ses doigts et dans le reflet de la glace je le vis les porter sous son nez. — Mais c’est que tu pus de la chagatte petite cochonne Mes joues marquées par la pisse et le vieux foutre se mirent à rougir. — Tu as de la chance j’adore les p’tites chattes odorantes comme la tienne. Il reporta son attention vers mon vagin et glissa sous l’étoffe où il trifouilla mes lèvres mouillées. Je sursautai en gémissant au contact de sa phalange qui pénétrait mon trou brulant sans prévenir. — Ah… mmm. — Tu es trempée jeune ...