1. Noémie la renifleuse de queue à la FAC - LE GARDIEN A LA BITE SALE Partie 3


    Datte: 01/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SMART77, Source: Hds

    Bonjour à tous,
    
    Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. C’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
    
    Aujourd’hui je vous raconte la suite de l’histoire où le beau gosse de FAC m’avait fait sucer sa bite puante jusqu’à ce que le gardien rentre dans les toilettes et me trouve le visage inonder de foutre…
    
    Noémie la renifleuse de queue à la FAC
    
    Partie 3
    
    LE GARDIEN A LA BITE SALE
    
    Je restai figé devant l’homme qui tenait à peine dans l’encablure de la porte. Sa bedaine était coincée dans une chemise rouge à carreaux noirs. Ses dents jaunies ricanaient sous sa barbe grise et hirsute. Il restait quelques cheveux autour de son gros crâne brillant. Il faisait sale et sentait la sueur. Je ne le regardais jamais et ne lui disais jamais bonjour quand je le croisais et il me trouvait dans une posture de trainée.
    
    — Alors c’est donc toi la petite souillon dont j’ai entendu parler et qui laisse des traces de foutre trainer dans mes toilettes ?
    
    Mes yeux bleus tremblaient devant son regard pervers alors que je sentais le sperme couler sur mes joues.
    
    — Réponds !
    
    — Oui… répondis-je d’une voix honteuse.
    
    — Oui Monsieur Robert ! Répète !
    
    — Oui Monsieur Robert…
    
    Depuis trois mois que je suçais ...
    ... des bites presque tous les soirs il fallait bien qu’un jour cela arrive. J’étais démasquée et quelque chose me disait que l’homme en face de moi se préparait à me tourmenter.
    
    — Putain tout ce qu’il t’a mis sur ton joli petit minois.
    
    J’allais passer mes doigts sur mon visage, mais il m’en dissuada sèchement. Il s’approcha de moi et caressa ma chevelure chiffonnés comme à un gentil animal.
    
    — J’adore tes cheveux doux ma petite Noémie. Alors que vais-je faire de toi ?
    
    Je tremblai en constatant qu’il connaissait mon prénom. Je relevai la tête et me trouva à quelque centimètre de son pantalon de velours kaki. Une odeur émana de son entre-jambes. La renifleuse de bite que j’étais reconnu les effluves de sexe négligé, mais il ne me laissa pas le temps de savourer et m’attrapa par les cheveux.
    
    — Sortons de là. Pour ce que je te réserve je vais avoir besoin de place et de laver un peu ta frimousse si innocente. Tu ne payes pas de mine comme ça, on dirait pas que tu es une grosse putain. Aller vient.
    
    — Aie !
    
    Il me tira de la cabine la jupe retroussée sur la taille, le dos courbé, je devais paraitre ridicule en glissant mes ballerines sur le carrelage blanc. Il me positionna à genoux entre deux pissotières à l’odeur d’urine fraiche que je détestais contrairement à la vieille qui émoustillait mon clito.
    
    Il se dirigea vers la porte principale pour la fermer à clé. Je l’observai revenir vers moi avec un sourire carnassier. Il dégageait une telle perversité que je ...
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