1. Douce Folie


    Datte: 29/04/2025, Catégories: amour, 69, aliments, attache, rencontre, Auteur: Slaanesh, Source: Revebebe

    ... la main pour qu’elle la prenne, comme si ce geste était désormais son oxygène et que, privé de ce contact, il ne pourrait continuer de vivre. Un dernier hochement de tête de remerciement et d’au revoir, en direction du couple derrière le bar, et le voilà qui suit la conquérante de son âme et sort du bar, sa main tannée par le travail manuel toujours serré par celle de sa belle, bronzée et à la peau délicate. Ils n’ont pas beaucoup de chemin à faire pour arriver chez elle, mais ce trajet leur semble malgré tout durer une éternité.
    
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    Bon, maintenant bonhomme, tu as intérêt à assurer de chez assurer ! T’es chez elle, dans son petit nid. Elle est biencalienté et ne demande plus qu’à être cueillie, cette rose délicate. Alors on s’emmêle pas les pinceaux ! Son désir à elle d’abord, c’est le plus important, mais là je t’apprends rien mon gars. Ah bah oui tiens, plaques la direct contre le meuble de la cuisine ! Doucement, doucement… là, oui, frôle-la lentement du bout des doigts… c’est mieux, elle est réceptive. Maintenant, fais-la frissonner, comme ça, tandis que tu lui bécotes le cou. Sa peau est brûlante, sa respiration haletante. Fais-la un peu languir en espaçant tes caresses et tes baisers, ouais comme ça. Elle s’impatiente la coquine. Les mains qui remontent le long de ses cuisses, OK, qui lui caressent les fesses, bien, qui les pétrissent, parfait. Tiens ? Elle ne semble pas réticente à une petite claque sur le cul, elle en gémit de plaisir même. ...
    ... Caramba ! Hé ! Mais qu’est-ce qu’elle fait ? C’est quoi ce regard de tueuse ? Qu’est-ce qu’elle sort de ce tiroir ? Ha ! Des menottes ! À moumoute rose ? Tiens donc ! Dans le tiroir où elle range les maryses et les spatules ? Tu veux jouer ma belle ? Comment ça ? Là, sur le sol de la cuisine ?
    
    … Lentement, après avoir attaché son amant à l’un des pieds du meuble de cuisine, assise à califourchon sur lui, elle finit de déboutonner cette fichue chemise orange qui l’empêche d’admirer ce torse tant convoité. Là ! Enfin ! Sans attendre plus longtemps que nécessaire, elle se penche, et du bout de la langue, remonte du nombril jusqu’aux tétons qu’elle agace et mordille, arrachant des gémissements de plaisir à son vaurien qui se tortille sur le sol et se mord férocement les lèvres pour essayer d’étouffer ses gémissements. Levegvesir tatoué est comme elle l’avait imaginé, au centre du torse, entouré d’un ouroboros qui se mord la queue et représenteJormüngandr, le grand serpent deMidgard de la mythologie viking. C’est ce que lui a expliqué le forban qu’elle torture délicieusement, en lui pinçant légèrement les tétons, en les faisant rouler entre ses doigts tandis que sa bouche gourmande s’attaque désormais à son cou, pour lui faire un suçon qu’Il n’est pas prêt d’oublier. Elle a bien l’intention de le goûter de toutes parts, de le déguster, de le savourer, de le faire durer et de le faire languir. Et elle n’oublie pas ce qui attend dans le frigo. Vu la température du corps de sa proie, ...
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