Don Booth et la mafia de la junk food
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
asie,
grossexe,
grosseins,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
... perdis mon souffle !
La fille qui m’avait parlé était attachée sur une chaise, elle tentait de me regarder tout en clignant des yeux, éblouie par la lumière vive. Entièrement nue, elle avait été sacrément bien pourvue par la nature. Sa peau dorée, ses cheveux noirs, ses yeux en amande… et surtout ses seins, énormes, lourds, monstrueux ! Je restai hypnotisé par sa poitrine. Ma mâchoire se décrochait, j’avais mal à la bite tant j’étais devenu brutalement raide.
— Mais… qui êtes-vous ?
— Est-ce important ? Mais pourquoi vous faites une tête bizarre comme ça ?
Elle avait un accent étrange, j’avais parfois du mal à comprendre tous les mots. À moins que ce ne soit les effets de sa poitrine sur mon cerveau.
— Euh… peu importe ! Vous êtes la fille chinoise que je cherche ?
— Pas chinoise. Singapour !
— Bon sang… je connais des seins siliconés, des seins poires, mais des seins gapour, ça, j’avais jamais vu !
— Tu devrais arrêter de regarder ma poitrine avec l’air bête et la bave au coin des lèvres ! Tu es là pour aider ?
Je me rendis compte qu’effectivement j’étais en train de baver et repris mes esprits.
— Oui, je suis là pour aider. On m’a envoyé te sortir d’ici. Un taxi nous attend juste devant la porte, là-haut.
Je fonçai sur la fille aux énormes nichons afin de la détacher, mais soudain je me fixai, l’esprit traversé par une lueur d’intelligence :
— C’est possible de savoir pourquoi tu es attachée là ?
— Pourquoi tu veux savoir ?
— Ben, ça me paraît ...
... évident, non ? J’aimerais savoir dans quoi je mets les pieds ?
— Je suis là, car Torelli m’a enfermé !
— Torelli ? Le chef de la mafia italienne ?
— Lui-même !
Je me tournai vers la voix dure qui avait crié cela. Une lumière crue venant du couloir découpait la silhouette des trois rudes lascars qui se tenaient devant la porte. Celui du milieu portait une affreuse moustache, un costume démodé et fumait un abject cigare.
— Alors c’est toi le fameux Torelli, dis-je.
Pendant que je parlais, je fis deux pas de côté, me réfugiant ainsi derrière la fille, imaginant que ses seins gapours arrêteraient les balles.
— Oui, c’est bien moi ! Mais toi, qui es-tu ?
— Don Booth ! Détective privé !
— Don ?
Une voix derrière les trois lascars s’était fait entendre et un colosse roux s’interposa dans la lumière.
— Jack ? Le Jack qui fait des burgers ?
— Don ? Le Don qui bouffe mes frites ? Mais qu’est-ce que tu fous dans ma cave ?
— Dans ta cave ? Merde, j’avais même pas tilté ! Un chauffeur de taxi m’a déposé ici pour que je vienne chercher cette fille !
— Elle ? Mais non ! Pas possible ! Merde, Don, tu peux pas la récupérer ! Elle est ma monnaie d’échange !
Je restai abasourdi :
— Monnaie d’échange ? Mais Jack, explique-moi !
— Bon sang, Don, t’imagines même pas la vie que je mène ! Je fais des burgers, et je les fais bien, avec amour et matière grasse ! Comme les vrais Américains savent les faire ! Et j’ai les Mexicains sur le dos avec leurs tacos, les Arabes ...