1. Don Booth et la mafia de la junk food


    Datte: 26/04/2025, Catégories: fh, fhh, asie, grossexe, grosseins, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, délire, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... dandiner, et croyez-moi qu’un moine n’aurait pas pu rester de marbre ! Je sortis ma queue, dure, elle aussi, et je me préparai à l’enfourner dans le premier trou qui se présenterait. Mais c’est alors que le gars poussa un râle en éjaculant violemment.
    
    — Quoi, déjà ?
    — 54 secondes, répondit Sixmartini en attrapant le manteau qui traînait près de l’homme. Mon record est 26 secondes sans mettre le doigt dans le cul de l’homme. Je suis pas en forme !
    
    Elle se lova dans le manteau du mec qui restait prostré, les yeux révulsés de plaisir. Elle regarda ma bite qui venait de ramollir d’un coup entre mes doigts et dit :
    
    — Si elle est molle, je fais pas ! C’est pas bon pour le rendement !
    
    Je me demandai l’espace d’un instant de quel rendement elle parlait, puis, m’apercevant que je restais seul dans une ruelle, la bite molle à la main, debout devant un pochard à moitié évanoui, je pris le parti de la suivre vers l’avenue qui permettait de rejoindre mon bureau. Nous croisâmes pas mal de monde à cette heure pas trop tardive, et je vis que certains nous regardaient bizarrement. Il était temps d’arriver à mon immeuble.
    
    Nous montâmes vers mon étage, et dans l’ascenseur j’eus tout loisir de constater que ses énormes seins débordaient du manteau. Toutefois l’angoisse me prit à la gorge en me rappelant les paroles du vieux Chinois : le tueur mexicain et les molosses de Don Vasquez… Si Jennifer était toujours à mon bureau, elle était en danger. Si elle n’y était plus, alors ...
    ... peut-être que quelqu’un d’autre s’y trouvait ? J’allais peut-être me jeter droit dans un piège ! Mais avec Sixmartini, avais-je le choix ?
    
    Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent sur un couloir désert. La porte vitrée indiquant mon bureau était baignée dans la pénombre. Je fis signe à la donzelle de me suivre sur la pointe des pieds et nous nous faufilâmes jusqu’à la porte. Aucune trace de Jennifer ni d’ailleurs de tueur ou de molosses.
    
    Je sortis de ma poche la clé de mon bureau, et restai stupéfait : la porte n’était pas verrouillée et s’ouvrit toute seule sans que je n’appuie sur la poignée.
    
    — Reste là, dis-je dans un murmure.
    
    J’entrai dans la première pièce, elle servait de bureau à Karen. Tout était sombre, il n’y avait aucune trace d’une présence récente. Pas de signe de lutte non plus, d’ailleurs. Qu’était-il arrivé à Jennifer ?
    
    Des bruits me parvinrent depuis la pièce à côté, celle qui me servait de bureau. Des gémissements ! Bon sang, Jennifer ! Je bondis dans la pièce tout en pensant trop tard que mon Colt me faisait défaut.
    
    La salle était violemment illuminée par des spots que je n’avais jamais vus ici. Devant mon bureau, je ne voyais que le dos (et le cul) d’un homme aux trois quarts nu. Les gémissements que j’avais entendus provenaient de la femme qui se trouvait vautrée sur le meuble… Et cette femme, je n’avais même pas besoin de voir son visage pour la reconnaître…
    
    — Karen !
    
    La belle leva les yeux vers moi et me répondit entre deux gémissements ...
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