Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (5)
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Egrewam, Source: Hds
... sous le jet doré, elle laisse la pisse lui éclabousser le visage, lui inonder la bouche. Elle avale à petites lampées, l’excédent de pipi lui ruisselant dans le cou.
Le jet tarit rapidement et Mathilde ouvre les yeux, son visage souillé de pisse, fripé par une expression contrariée à l’idée que ce soit déjà fini. Elle a un soupir presque douloureux et plonge vers le buisson humide, léchant et suçant, pour aspirer jusqu’à la dernière goutte avec un appétit pervers. Cécile la saisit brutalement par les cheveux et la force à se relever.
- Tu n’es vraiment qu’une pute ! Ouvre les yeux, regarde Pierre ! Tu voulais vraiment qu’il te voie comme ça !
Elle finit de lui baisser le slip, m‘exhibant, sous les chairs molles du ventre, un pubis hérissé de poils jusqu’au bord de la fente et encadrent les longues lèvres pendantes et lisses, d’un rose violacé.
Elle abat sèchement sa main sur le pubis. Mathilde se mord les lèvres et se courbe un instant vers l’avant, par réflexe, avant de tendre son bassin pour une deuxième claque.
Tante Cécile frappe plus violemment faisant retomber sa paume sur la vulve avec un bruit sec. Mathilde ne peut retenir un gémissement, mais ne se dérobe pas. Après cinq ou six tapes de plus en plus appuyées sur son sexe, son visage est rouge et de la sueur perle sur son front.
Lorsque tante Cécile se munit d‘un martinet, Mathilde se met à quatre pattes sur le lit.
- Tanne-moi les fesses !
Un premier coup s‘abat...
- Vas-y fort ! Pèle-moi ...
... le cul !
Un second coup cingle les fesses de Mathilde.
- Continue comme ça, fais-moi mal !
Elle frappe de nouveau et, cette fois, de longues marque rouges s’étalent en travers de ses fesses. Elle accuse les coups par des tressaillements de tout le corps. Cependant, cela ne lui suffit pas encore.
- C’est mieux... Vas-y encore plus fort...
La cravache siffle à plusieurs reprises. Alors que ses fesses se marbrent de coups, Mathilde reste prosternée, une main entre les cuisses. Elle se tient très cambrée, je vois ses doigts tout luisants de mouille s’agiter dans sa fente dont les lèvres molles bâillaient largement.
Sous les volées de la badine, elle ondule comme une liane. Lorsque les coups l‘atteignent entre les cuisses, Mathilde jouit, en poussant un cri strident, avant de s’affaisser sur le canapé. Sa main, toujours coincée entre ses cuisses, l’orgasme la secoue de la tête aux pieds.
- Ma pauvre, mais qui voudrait encore de toi ? Tu penses qu’un gentil garçon comme Pierre a envie de baiser une cochonne comme toi, vieille vicieuse ?
En lui crachant ces paroles blessantes, elle la rejette sur le sofa. Mathilde y reste un instant immobile, la respiration hachée, puis elle roule sur le ventre et soulève lentement ses fesses opulentes.
Elle ramène ses genoux sous son ventre, creusant le dos étalant sa croupe grasse, faisant ballotter les sphères lourdes en les écartant davantage pour exhiber au-dessus de la chatte entrouverte, un anus bosselé et poilu, ...