Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (5)
Datte: 26/04/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Egrewam, Source: Hds
... côté, et peigne les mèches pour dégager son profil à ma vue.
Le visage de Mathilde a une expression extatique. Paupières closes, front plissé, elle semble au bord du plaisir, comme si se repaître des parfums puissants du con trempé la faisait jouir. Les lèvres écartées, elle passe la langue sur la fente en soufflant, repousse les poils étirés pour atteindre le gros clitoris enflé qui darde entre les frisottis.
- Tu l’aimes vraiment, mon con ! C’est parce qu’il sent fort, c’est pour ça ?
Mathilde pousse un gémissement et accélère ses coups de langue, happant le bouton entre ses lèvres pour le sucer.
- Et mon cul, est-ce qu’il t’excite aussi ?
Tante Cécile me jette un regard vicieux, comme pour m’inviter à ne pas en perdre une miette, avant de relever haut les genoux pour exposer sa croupe. Entre les fesses, dans le sillon tapissé de poils noirs, l’anus saille comme un large cratère irrégulier aux reliefs sombres.
- Alors tu l’aimes aussi mon trou du cul ?
Mathilde opine et avance son profil entre les fesses. Du pied, tante Cécile l’arrête dans son élan.
- Alors ?
Mathilde ouvre fugitivement les yeux. Sa voix est sourde.
- Tu le sais bien !
Cette fois, Cécile la laisse faire et elle peut poser les lèvres sur l’anus protubérant, le couvrir de baisers tendres avant d’en faire le tour avec ses lèvres, l’agaçant avec une volupté manifeste. Elle finit par y enfoncer la langue, la faisant tourner dans le rectum, coulisser dans l’orifice qu’elle ...
... maintient ouvert des deux mains.
Mon sexe est si gonflé qu’il devient douloureux. Je veux me joindre à elles, les posséder toutes les deux, mais en même temps, je suis trop fasciné par ce que je vois pour me déplacer.
Avec un dernier coup de langue avide dans la raie, Mathilde se redresse, le visage humide, la voix éraillée.
- Maintenant, Cécile... Tu veux bien ?
Sans attendre la réponse de tante Cécile, elle se débarrasse avec des gestes fébriles de sa robe et dégrafe son soutien-gorge rapidement, libérant ses seins volumineux qui retombent lourdement sur son buste. Sa culotte est toujours baissée sur ses cuisses, là où l’a laissé Cécile, et entaille ses larges fesses.
- Maintenant, s’il te plaît !
Tante Cécile se redresse, et rampe sur le canapé pour amener son bassin au bord du sofa.
- Tu ne veux pas plutôt que ce soit lui ?
Mathilde ferme les yeux et secoue la tête dans une attitude de prière.
- Non, toi... Toi d’abord !
Une joie vicieuse éclaire le visage de ma tante. Assise au coin du sofa, elle passe les mains entre ses cuisses, plongeant les doigts dans la touffe humide pour écarter les lippes hérissées de poils de son con et exhiber la fente rougeâtre, les nymphes ciselées, et l’impressionnant clitoris érigé.
- Tu crois qu’il voudra encore de toi après, d’une vieille salope qui sent la pisse ?
Son sourire s’agrandit et elle relâche sa vessie. Mathilde n’a ni sursaut, ni cri de surprise. Au contraire, elle incline son visage pour l’amener ...