1. Matilda


    Datte: 26/04/2025, Catégories: f, ff, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, caresses, Oral fist, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... aussi gagné mon clito que je sentais pointer hors de son abri.
    
    — À moi !
    
    Je me tournais, pour qu’elle ne voit pas mon émoi. Elle emprunta le même parcours que moi. Elle s’attarda longuement sur mes fesses, la surface à traiter était plus importante. Je sentais ses doigts qui, sous le prétexte de bien enduire, tripotaient et malaxaient mon abondante chair. Elle fit de même avec mes cuisses puis se redressa et aborda mes bras. Ses mains étaient légères et agiles. Elle reprit une dose de crème et passa ses bras devant moi pour enduire le cou et le décolleté. J’attendais la suite, je sentis venir le dérapage. Elle se saisit de mes seins à pleine main pour les enduire consciencieusement. Elle y mettait tellement d’application que les pointes étaient tendues et dures. Elle s’était rapprochée dans mon dos et je sentais ses seins qui s’écrasaient contre moi et son ventre qui se collait à mon dos. J’avais fermé les yeux mais quand je les ai réouverts je nous voyais dans le miroir, plaquées l’une contre l’autre. Elle déposa un petit baiser dans mon cou qui déclencha quelques frissons. Presque brutalement elle me retourna et en collant sa bouche à la mienne me donna un furieux baiser.
    
    Il n’était plus possible de nous arrêter. Je l’éloignais un peu pour l’admirer et pour saisir ses seins. La sensation était rare, ses petites masses de chair fermes et douce qui se laissaient pétrir pour revenir à leur forme parfaite. Le rose des pointes s’était rehaussé sous l’effet de la ...
    ... tension. Je sentis sa main descendre vers mon sexe et je perçu presque la surprise lorsqu’elle atteignit le bourgeon bien dressé. Ses doigts l’enveloppèrent avec délicatesse, peut-être la peur de me faire mal ou impressionnés par sa taille. J’allais aussi caresser sa vulve, ses lèvres étaient gonflées et commençaient à entrouvrir une fente longue et glissante. Je la poussais légèrement :
    
    — Viens !
    
    Nous avons réussi à atteindre le lit collées l’une à l’autre. Je ne savais plus quelle était sa langue et quelle était la mienne. Nos mains parcouraient nos corps trop vite pour en apprécier tous les détails. Elle se retourna et me présenta ses fesses tandis que son visage disparaissait entre mes jambes. Je faillis crier quand elle aspira mon clito. J’avais son sexe maintenant béant devant ma bouche. Son anus se contractait par petits à coups. Sa cyprine coulait sur moi, abondante et translucide. Je repensais à l’état de ses strings il y avait peut-être un peu du sperme de Julien. Cette idée m’excita et je pointais ma langue dans son vagin pensant pouvoir encore y récolter le mélange de leur plaisir. Nos orgasmes furent simultanés et je sentis couler son jus parfumé sur mes lèvres. Nous nous enlaçâmes et nos baisers mélangèrent les goûts et les odeurs de nos sexes.
    
    Le désir n’était pas éteint. Nos mains continuaient l’exploration de nos corps dans leurs recoins les plus intimes. Je me plaçais assise entre ses jambes qu’elle tenait grandes ouvertes. Son sexe était ouvert, je voyais ...
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