1. Le forgeron


    Datte: 25/04/2025, Catégories: fh, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme pastiche, Humour occasion, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... contempler la peau nue de mon pubis. Il me parait un brin surpris.
    
    Je sais que certains mal dégrossis nomment une toison féminine, un tablier de sapeur. Comme je sais également que l’on parle de sapeur-pompier, et que ces professionnels de la flammèche fêtent sainte Barbe… Mais tout de même… Il y a cette autre appellation. Un tablier de forgeron. Et là, nous sommes dans le bon contexte. Ma toison pubienne, si j’en avais une, ressemblerait plus aux poils du torse de Timothée, hormis la blondeur, qu’au tablier de cuir qu’il portait avant de me foutre à poil ?
    
    Allez donc savoir ! J’avoue me perdre en conjonctures.
    
    Mes deux mains réunies, ne cachent pas la totalité de la hampe dure qu’elles massent doucement. Le gland turgescent et mouillé me paraît presque menaçant. Pourtant, la curiosité de prendre en bouche un tel phénomène, me donne chaud au ventre. Le jeune forgeron s’est penché en avant, pour en terminer du chemin pris par mon unique sous-vêtement. Alors, mes mains tirent doucement le membre majestueux vers moi. Timothée ne résiste en rien à mon geste. Un pas du géant le rapproche de l’établi d’acier. Et de ma bouche. L’idée de pompiers me revient à l’esprit, alors que j’enfourne ce qui s’est collé à ma joue. Le monstre est entré et je le serre entre mes lèvres. Comment pourrait-il en être autrement ? Gros et massif. Une masse dure. Le prendre en bouche est déjà suffisant pour moi. Je suis emplie de ce sexe si imposant. Je suce un dieu ! Je ne peux qu’avaler une ...
    ... petite moitié de ce chibre étonnant.
    
    Allons, allons me direz-vous, un petit effort s’impose. Eh bien non. Ces fameuses gorges profondes, si elles doivent être agréables pour un homme, ne me plaisent pas. Je dirais même, que certaines vidéos sur le sujet m’ont passablement dégoûtée. Je ne suis pas de celles qui crachent à tout va, ou vont jusqu’à se laisser aller à baver sur une queue, qu’elle soit grosse ou petite. Et surtout, dieu nordique ou non, je déteste m’efforcer à faire ce que je n’aime pas, alors que je fais si bien, ce que j’apprécie de faire. Et puis, c’est certainement un peu comme cette histoire de taille de quéquettes. Si c’est bien fait…
    
    — M’mff…
    
    C’est donc bien fait. Timothée pousse un léger râle quand ma langue caresse son gland niché entre mes lèvres. Ce simple exercice me fait prendre conscience de la teneur de ce que j’ai en bouche. Mes lèvres sont un peu distendues pour produire ce petit effet de langue tournante.
    
    — Ooh…
    
    Certainement dissipé par mes bons soins, le jeune forgeron s’est laissé aller. Ou alors, il s’agit de la simple habitude de manier son cher Mjöllnir. Ses doigts m’ont prise d’un coup ! Il est heureux que dame nature sache ce qu’elle fait. Mon déshabillage désordonné et brusque, puis mon installation sur cet établi, ces actes ayant éveillé mes sens dédiés à la soumission, ma chatte est trempée. Et puisque nous en parlons, j’ai eu l’impression d’être martelée. La large paume de la main du géant s’est plaquée à mon pubis nu, et ...
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