Petite fleur des iles. 7
Datte: 23/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... sa poutre épaisse, mais je suis émue et une bouffée de chaleur me submerge devant cette colonne de chair qui oscille doucement à quelques centimètres de mon visage.
Il s’étend sur le dos, saisit son chibre à deux mains pour le mettre à la verticale. Je ne peux refuser une telle invitation. Je passe une jambe de chaque côté de son corps comme pour chevaucher un étalon, soulève mon arrière-train et lentement m’empale sur ce pieu hors-normes pour moi. (Si vous voulez visualisez ce dont je parle, tapez « mlkjhg39, hors normes » sur votre ordi et vous devriez trouver mon modèle).
Encore une chance que ma chatte est trempée quand son pénis entre en moi. J’ai l’impression de perdre ma virginité une deuxième fois. Je n’avais pas trop apprécié mon dépucelage pratiquement à sec par un petit con pressé, heureusement avec une queue deux fois moins grosse que celle de mon voisin. La sensation de chaleur est immédiate. Mon bas ventre s’embrase littéralement. Je ne bouge pas, savourant cet instant qui met le feu à mon corps tout entier. Je vois mon reflet dans une immense glace murale, j’écartèle ma petite chatte sur ce gigantesque pieu. Il me faut de nombreux va-et-vient pour m'empaler complètement sur son pal. J'ai le ventre en feu. Je jette un coup d’œil dans le miroir et constate, effrayée, que mon vagin distendu au-delà du possible n'a pu absorber complètement l'énorme verge de Xavier. De nombreux centimètres restent dehors et n’ont pas droit à la chaleur torride de ma grotte ...
... de jeune fille. Mon fourreau est complètement distendu par le diamètre peu commun du pieu qu’il accueille. Mes mains rejoignent les siennes au dessus de sa tête, nos doigts s’entrelacent. Je me penche vers lui pour que mes seins viennent effleurer son torse, je l’embrasse presque tendrement. Maintenant je monte et descends lentement sur cet axe, le temps que mon corps s’habitue à un tel intrus, les yeux clos, me mordant la lèvre inférieure jusqu’au sang.
-Que tu es trop gros Xavier… Mais putain que c’est booonnn !!!
A force de persévérance et un peu de douleur, j’arrive presque à entrer entièrement sa verge phénoménale dans mon con. Mes lents va et vient ont progressivement éveillé mon plaisir et je deviens une véritable amazone en rut, l’abreuvant de mots crus que je ne me croyais pas capable de lui dire, poussant mon bassin au devant de ce gros porteur afin de le faire pénétrer encore plus profondément, si c’était encore possible. Mon vagin se serre sur son sexe à un rythme régulier. Mon regard se trouble et mon souffle s’accélère. Je bouge doucement mes hanches et mes fesses ondulent langoureusement autour de son axe d’airain. Mon cœur s’affole et mon corps m’ordonne d’aller plus vite. Mais je veux faire durer ce moment, faire monter encore le désir en moi pour décupler ma jouissance.
J’hurle comme une folle, mais lui reste passif, comme si la folle qui se poignarde sur son sexe ne le concerne pas. Tant pis… je me donne du bon temps, espérant l’amener au plaisir. ...