Petite fleur des iles. 7
Datte: 23/04/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
Petite fleur des îles.
7) : Xavier me fait découvrir que je suis une femme-fontaine.
Préface : L’échange par mail pendant les cinq premiers chapitres de cette histoire entre Maeva et Xavier sont un copier/coller d’un échange avec une de mes fans avec quelques coupures pour garder son anonymat. Je l’avais prévenue de la possibilité de me servir de nos échanges dans une future histoire et lui dédie donc celle-ci.
Jamais ma chatte n’a été embrassée et sucée de cette manière. Je me mets sur les coudes pour jeter un regard curieux, suivant le mouvement de sa bouche et de ses mains sur ma chatte. Xavier a poser ses lèvres sur mes grandes lèvres comme une demande d’introduction, puis il les écarte avec deux doigts pour prendre possession cette fois-ci de mes petites lèvres et de mon clitoris dressé comme un petit pénis, et qu’il lèche et suce avec force m’amenant vite à des sensations inconnues pour moi.
Suite :
Sa façon de faire est si agréable que je ne peux m’empêcher de pousser de petits gémissements, comme une plainte de petit chiot. Je relève mon bassin pour mieux accroître le contact de sa bouche sur ma chatte, lui faisant savoir le délice que j’en ressens et qu’il ne faut surtout pas qu’il s’arrête.
Il se redresse quelques secondes pour m’arracher ma petite culotte et replonge sa tête entre mes cuisses. Plus aucun obstacle ne s’oppose au cunnilingus d’enfer que je subis.
Je replie mes jambes et les pose sur ses épaules, ouvrant la fourche de mes ...
... cuisses au maximum. Il prend un temps infini à sucer et lécher mes petites lèvres, à prendre possession de mon petit clitoris durci par le désir, le mordille. Je ne peux retenir des petits cris de plaisir, je le force avec mes jambes pour que sa tête soit prisonnière entre mes cuisses. Par de petits mouvements brusques et saccadés, je relève mes hanches pour que sa langue aille au plus profond de mon vagin et que sa bouche s’abreuve de toute la cyprine qui s’écoule de moi.
Soudain, je manque d’air, puis ma respiration devient de plus en plus rapide. Mes petits cris de tout à l’heure se transforment en râles rauques comme venus de mes entrailles les plus profondes. J’emprisonne encore plus fort sa tête et m’immobilise dans cette position, sentant arriver un énorme orgasme, une véritable lame de fond comme je n’en ai encore jamais connue, elle arrive tel un torrent de montagne en furie après un fort orage. Je pousse un cri de bête à l’agonie en déchargeant une quantité incroyable de cyprine dans sa bouche, qu’est-ce qui m’arrive ? Je me vide comme un seau que l’on renverse dans la bouche prisonnière de mes cuisses, l’obligeant à tout avaler.
Au bout d’un temps qui me semble une éternité, je m’effondre sur le lit, la bouche grande ouverte, pour reprendre ma respiration, desserrant mon étreinte autour de sa tête, permettant aussi à Xavier de reprendre lui aussi sa respiration. Une énorme flaque a détrempé le drap.
Il s’allonge à côté de moi, me laissant reprendre mon souffle. ...