1. Le cordonnier et la poupée


    Datte: 22/04/2025, Catégories: fh, hplusag, cadeau, fsoumise, Oral pénétratio, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... !
    
    Passionné, Jacques se met à toucher les douces fesses de Louisette. Il semble beaucoup apprécier ce contact de cette chair fraîche et soyeuse. Moi, je ne m’en lasse pas depuis trois ans, dont presque deux de vie commune.
    
    Tout en continuant de caresser les courbes de sa soumise d’un soir, le cordonnier s’extasie :
    
    — Y a pas à dire, mais c’est franchement extra d’avoir une soumise sous la main, et encore, je n’ai même pas commencé !
    — Je te crois, j’en sais moi-même quelque chose…
    
    Commence alors un festival de caresses, de petites fessées, de cajoleries sur les fesses offertes de Louisette qui se laisse faire sans aucun souci. N’est-elle pas une soumise ? Elle adore se prêter à ce genre de jeu, et moi, j’adore la prêter pour qu’elle joue. Nous sommes bien trouvés, sans parler du reste que je n’ai pas encore avoué…
    
    — Putain de putain ! Que c’est bon !
    
    Puis, fasciné, il commence à jouer avec les anneaux rivés dans les tétons de ma soumise. En général, la plupart des hommes adorent ce genre de jeu. Ne me demandez pas pourquoi. Je prête parfois Louisette à des hommes, trois précisément mais pas en même temps, dont la seule réelle motivation est de jouer avec ses piercings, sans plus !
    
    On a les plaisirs qu’on peut…
    
    Mon cordonnier s’échauffe de plus en plus. Son pantalon étant devenu trop serré, il a maintenant le sexe à l’air. Je suis assez étonné de sa vigueur. Je pensais avoir affaire à un engin moins au top, vu l’âge de son propriétaire. Un préjugé, ...
    ... je suppose. En parlant de ça, je me souviens d’un certain jeune homme, pourtant fort bien bâti, qui possédait carrément un mini sexe d’enfant. Le contraste était fort entre ce quasi-culturiste et ce qu’il avait entre les cuisses.
    
    Jacques commence sérieusement à s’exciter. Il est à la limite de baver. Par signe, montrant son sexe puis les fesses offertes, je lui explique que Louisette est vraiment à sa disposition. Il marque un léger temps d’arrêt avant de passer à l’étape suivante.
    
    D’une voix impérative, il ordonne sans détour :
    
    — Mets-toi à quatre pattes, p’tite pute, je vais te faire goûter de mon bâton de berger !
    
    Visiblement, l’heure est venue pour ma jeune soumise de vider les couilles bien pleines du cordonnier. D’ailleurs, c’est son rôle. Après avoir été guidée sur un tapi épais, une simili-peau de mouton, elle se met en position. Prestement, l’homme se positionne derrière elle, et sans préambule, il enfonce sa verge bien raide dans une chatte déjà baveuse. Quand l’engin entre en elle, Louisette crie un peu, surprise de cette rapide entrée en matière.
    
    — Tu vas déguster, p’tite pute !
    
    Avec une célérité assez surprenante pour son âge (du moins, je le pense), solidement arrimé à ses hanches, Jacques pistonne férocement ma soumise, entrant et sortant dans une cadence infernale. Le corps de Louisette est secoué comme un prunier. Étonnante vigueur que j’aimerais encore avoir au même âge !
    
    Le mouvement ralentit, mais devient plus ample, plus puissant. Le ...
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