1. Le cordonnier et la poupée


    Datte: 22/04/2025, Catégories: fh, hplusag, cadeau, fsoumise, Oral pénétratio, dominatio, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... moi, votre soumise préférée !
    
    Quelque temps après, nous sommes dans son salon. Jacques est assez impressionné, il m’avoue en catimini qu’il n’y croyait pas trop. Il y croit encore plus quand je débarrasse Louisette de son manteau, révélant sa tenue, tout en annonçant :
    
    — Chose promise, chose due…
    
    Collier au cou avec une laisse, ma soumise est vêtue d’une minirobe fourreau noire fort simple, sans bretelles, assez moulante et transparente qui dévoile bien les rondeurs de sa poitrine juvénile. Ce morceau de tissu en forme de cylindre descend au ras de la moule, comme on dit vulgairement. Plus bas, des bas aussi noirs maintenus par un porte-jarretelles assorti et des chaussures de même couleur à talons aiguilles complètent son habillement.
    
    — Eh bé !
    
    Mon cordonnier en a le souffle coupé, mais pas le sexe qui pointe fortement sous son pantalon. Assez déboussolé, il ne sait pas par quoi commencer. Je vais donc l’aider un peu pour se mettre dans le bain. Plus bas, je relève le tissu noir pour révéler, encadré par le porte-jarretelles, un sexe parfaitement glabre comme se doit d’avoir toute soumise digne de ce nom, un signe d’infantilisation, je n’invente rien.
    
    Le cordonnier s’exclame :
    
    — Oooh, elle a des anneaux à la chatte ! ?
    — Trois précisément : un à chaque lèvre et un sur le capuchon.
    — Extra ! C’est vraiment extra !
    
    J’arrache à notre hôte un autre compliment :
    
    — Très mignon tout ça ! On dirait presque une poupée, quoi…
    — Il y a un peu de ça, ...
    ... sans que ça ne soit vraiment ça. Une soumise n’est pas une femme, c’est juste une soumise, un jouet, un objet.
    — Oui… je comprends l’idée…
    
    J’obtiens le deuxième compliment quand je tire le tissu du haut vers le bas, dévoilant deux mignons seins blancs, dont les tétons sont ornés d’anneaux.
    
    — Waw ! Beaux lolos ! J’adore les anneaux ! Ça fait vraiment…
    — Pute ?
    — Non-non, vraiment soumise à fond ! Des anneaux sur la chatte et aux nichons, pas mal du tout ! Je peux jouer avec ?
    — Pas de problème. Mais pas trop fort, il ne faudrait pas les arracher !
    — Loin de moi cette idée ! Je peux voir le côté pile ?
    
    Obéissante, Louisette se retourne, faisant voir ses fesses, blanches elles aussi. Tandis que le cordonnier admire le spectacle, je m’approche de lui et je glisse à son oreille :
    
    — Rappelle-toi, elle est à toi pendant une heure. Ordonne et elle obéira…
    — C’est trop beau pour être vrai ! Au fait, je l’appelle comment, ta soumise ? Je ne connais même pas son prénom…
    — « Petite pute », ça ira très bien.
    
    Il déplace un fauteuil, et il s’assied dedans, bien dans l’axe, continuant d’admirer le popotin qu’il a sous les yeux, puis il se décide, lançant d’une voix ferme :
    
    — P’tite pute, écarte les jambes et penche-toi !
    
    Obéissante, ma soumise s’exécute sans complexe, s’appuyant sur une chaise que je viens de lui placer sous les mains, révélant mieux ses fesses dodues et aussi sa belle fente glabre. Le senior s’enthousiasme :
    
    — Je veux la même à la maison ...
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