1. Matures au confessionnal


    Datte: 22/04/2025, Catégories: fh, fplusag, couple, extracon, Collègues / Travail hotel, toilettes, Oral pénétratio, fsodo, confession, lieuxpubl, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... tard, quand on est rentrés à l’hôtel. Je ne le savais pas, mais il avait demandé deux chambres communicantes. J’étais à peine arrivée dans la mienne, ôté mes escarpins et défait mon chignon qu’il a frappé à la porte intermédiaire et est apparu vêtu simplement d’un peignoir, celui de la salle de bain. J’ai compris tout de suite que ma vertu allait en prendre un coup. Il faut dire que j’avais un petit coup dans le nez et que je me sentais en état d’euphorie après ce succès qui s’était traduit par un joli marché. Mon patron m’en avait attribué une large part et je flottais dans une espèce de béatitude peu propice à la résistance patronale. Quand il m’a enlacée, j’ai répondu à son baiser, pensant naïvement qu’on en resterait là. Mais quand j’ai vu sa queue surgir de son peignoir, j’ai conclu qu’on en était qu’aux prémices. Je n’avais jamais vu une queue pareille. Longue, recourbée comme une parenthèse, plutôt fine, alors que celle de Christophe est courte et épaisse. Son peignoir est tombé et son corps est apparu, entièrement nu, imberbe, rasé. Il s’est allongé sur le lit en se paluchant, et en me fixant il me dit :
    
    — Allez, viens, on va fêter ça à notre manière. J’ai très envie de toi, tu es la plus belle de toutes mes collaboratrices.
    
    Le genre de compliment qui fait fondre une femme, a fortiori en entrée de cinquantaine, quand le doute s’installe. Il me laissait la responsabilité de la suite. Je n’avais qu’un geste à faire : glisser les mains sous les bretelles de ma ...
    ... robe, la laisser tomber sur mes chevilles, apparaître seulement vêtue de mon string. Et je trompais mon mari avec mon patron. Moment crucial.
    
    Mon string a rejoint ma robe au sol et je me suis allongée à côté de lui. Et vous savez quoi ? J’avais envie de sa queue. Je ne pensais plus à mon mari, mais à mon plaisir. Je l’ai embouché avec volupté pendant qu’il se retournait sur le lit et allait glisser son visage entre mes cuisses pour me lécher la chatte. On se retrouvait en plein 69, une position que je n’adopte plus guère avec mon mari le dimanche matin. J’en arrivai à un stade où seule une bite bien raide, là où est sa destination, pouvait me calmer. Enfin, façon de parler, car dès qu’il m’a enfilée, je n’ai eu qu’une préoccupation : lui prouver que je n’étais pas une planche à pain. Ce fut d’autant plus facile que sa bite me régalait. Mon patron était un vrai baiseur, fougueux, inventif, inlassable, bavard. Ses mots crus m’excitaient et je gigotais sur lui, sous lui, à côté de lui en couinant et piaillant. Il me parla de mon cul qui, me dit-il, le faisait rêver depuis un moment et j’eus droit à une introduction entre mes fesses qui ne me fit même pas mal tellement j’étais chaude.
    
    — Je t’encule, je t’encule, je t’encule, répétait-il, et ça me provoqua le premier orgasme anal de ma vie.
    
    Bref, on a baisé, vraiment baisé, et pas qu’une fois ! Encore au petit matin, cette fois à mon initiative, car je n’étais pas encore rassasiée. Tout ça, je ne l’ai pas fait pour l’argent, ...