Matures au confessionnal
Datte: 22/04/2025,
Catégories:
fh,
fplusag,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
toilettes,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
lieuxpubl,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... je l’ai longuement chevauché, de face et de dos, jusqu’à ce que le spectacle de mon cul en mouvement le fasse gicler à nouveau. Je lui devais bien ça, à mon cher et tendre, qui venait de me faire tellement sentir femme… ou plutôt femelle.
Je m’appelle Corinne, j’ai 50 ans, je suis assistante de direction dans une PME, mariée, deux enfants partis hors du foyer pour études et, physiquement, fausse blonde à mèches, assez grande(1,76 m), plutôt bien foutue si j’en crois ce qu’on me dit, assez fière de mes fesses qui tiennent encore bien debout, si j’ose dire. Pas de problème sexuel puisque je fais régulièrement l’amour avec mon mari Christophe, en général le dimanche matin lorsqu’on a toute la journée devant nous. C’est bon pour le mental comme pour les hormones et ce n’est pas parce que je suis ménopausée que je dois me négliger. Bref, une vie somme toute banale pour une femme de mon âge.
Seulement voilà : elle est sortie des normes récemment et je n’en suis encore pas revenue. C’est pourquoi je me sens obligée de me mettre à mon ordinateur pour raconter tout ça, comme pour me convaincre que ça a vraiment eu lieu.
Tout a commencé quand mon patron m’a convoquée dans son bureau pour me dire que j’allais l’accompagner dans son prochain déplacement à l’étranger. En principe, ce n’est pas moi qui suis commise à ce genre de mission, mais Julie, ma collègue de dix ans plus jeune, aussi brune que je suis blonde, plus ancienne que moi dans la boîte. Je ne sais trop pourquoi, ...
... ce fut moi la sélectionnée, et j’en fus gênée pour Julie, qui a peu apprécié, je compris pourquoi plus tard.
Mon patron, c’est le type même du jeune businessman bien de sa personne, toujours fringué impeccable, coiffé de même, légèrement barbu, la quarantaine dynamique, bref, séduisant, il faut bien le dire. Pour autant, je n’ai jamais éprouvé autre chose à son égard qu’un respect hiérarchique. Il m’avait demandé d’être élégante, et même sexy si possible, cela en raison d’un dîner important avec des clients. J’avais sorti une robe que je mets peu parce qu’elle est vraiment très décolletée, en particulier dans le dos. Comme elle est ancienne et que j’ai pris du poids, elle me serre un peu aux fesses et aux cuisses. Mais cela n’a pas gêné mon patron, qui m’a même expressément demandé de ne pas mettre de soutien-gorge qui barrerait mon dos nu d’une armature, il est vrai peu esthétique. J’avais donc les seins libres sous ma robe et ça me faisait tout drôle de me montrer ainsi, les nichons ballottant sous l’étoffe. J’avais l’impression d’être uneescort-girl sur le retour.
Le dîner s’est bien passé. Mon anglais était un peu laborieux, mais nos commensaux en étaient charmés, en particulier un qui me faisait carrément du gringue. Je n’avais évidemment aucune envie de coucher avec ce gros type adipeux pour le bien-être de ma boîte. Fort heureusement, mon patron ne me l’a pas demandé. Qu’aurais-je fait si ç’avait été le cas ? Je me le demande encore.
La surprise, ce fut plus ...