1. Clinique Saint Roch 3


    Datte: 19/04/2025, Catégories: fh, ffh, jeunes, médical, strip, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... Sylvie empoigne mon membre, le serrant fort dans sa main, puis lèche à petits coups de langue le gland d’abord puis le frein. Elle aspire le sexe dans sa bouche, le lubrifie et commence à pomper lentement.
    
    — Doucement, Sylvie, doucement ou je vais partir trop vite.
    — Pas question, tu es prié de suivre nos directives. Barbara, à toi.
    
    Barbara se saisit de mon engin et le porte à sa bouche.
    
    — Aïe, pas les dents !
    — Oh ! pardon.
    — Branle-le d’abord un peu, comme ça, en remontant le prépuce sur le gland et en décalottant après. Voilà, comme ça. Ensuite tu approches ta langue et tu titilles le frein, c’est le plus sensible. Voilà, c’est bien, mais pas trop longtemps, sinon il explose et tu te retrouves Gros-Jean comme devant. Maintenant, tu pompes un peu. Parfait, il est bien mûr, tu peux le laisser tomber, ça lui fera les pieds. Enfin, quand ils sont dans cet état, tu peux aussi en profiter pour les enfourcher. Comme ça.
    
    Elle me pousse sur le lit et me chevauche immédiatement. Fermant les yeux, elle balance son cul en cadence, grognant doucement.
    
    — C’est bon ! Barbara, viens, caresse-moi les seins. Embrasse-moi… Encore… Oui, oui… Mmmmm ! C’est trop bon.
    
    Elle pousse un grand soupir en tremblant de tout son corps et je la sens couler sur moi. Je fais un énorme effort pour penser à autre chose, sinon je sais que je vais partir. Je relève la tête et vois Barbara se mettre en lieu et place de Sylvie. Le rythme n’est plus tout à fait le même, plus rapide et plus ...
    ... désordonné, mais volontaire et puissant. Je lui caresse les seins d’une main et empoigne fermement une fesse de l’autre. Sylvie est debout au-dessus de ma tête et Barbara s’agrippe des deux mains à ses fesses, la bouche à hauteur de son ventre. Le spectacle est hallucinant, mais fugace, la belle exhalant violemment son plaisir.
    
    Nous sommes maintenant allongés et enlacés tous les trois. Je bande toujours, car je me suis tellement retenu pour pouvoir les satisfaire que je n’ai finalement pas joui. Je me sens un peu frustré, mais encore plein d’espoir. Toutes deux sont là, satisfaites, ouvertes à des prolongations, du moins, je l’espère.
    
    C’est Barbara qui nous sort de la torpeur dans laquelle nous étions tombés. Elle se glisse entre les cuisses de Sylvie, frotte le bout de son nez sur ses grandes lèvres et lape discrètement la cyprine qui les tapisse. Sylvie a de nouveau fermé les yeux et agrippe ses cheveux pour commander le mouvement. Sa respiration s’accélère doucement, mais elle retombe assez vite et se love dans mes bras en m’embrassant passionnément.
    
    — Merci.
    — C’est Barbara qu’il faut remercier.
    — Merci Barbara.
    
    Celle-ci nous regarde, encore troublée, les yeux embués. L’intensité de la séance a surpris tout le monde. Nous ne comprenons pas vraiment ce qui s’est passé. Il y a eu une espèce d’osmose totale pendant quelques trop courtes minutes.
    
    Barbara commence à se rhabiller. Je me lève. Sylvie s’est endormie.
    
    — Attends, je te raccompagne.
    
    Nous partons ...
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