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Qui suis-je vraiment? 09
Datte: 17/04/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... me faire réprimander pour avoir une pilosité naissante. Qui sait ce que je devrais faire en plus? J'appliquai donc de la cire sur mon pubis puis sur mes lèvres et autour de mon anus. Je tirais d'un coup la cire une fois celle—ci refroidie. Passé la douleur, je regardais ma peau de nouveau imberbe et rougie. Pour finir je passai de la pommade pour apaiser le feu de mon bas ventre et allais me coucher pour tenter de dormir malgré l'angoisse de ce que j'avais à faire le lendemain. Le mercredi matin donc je prenais ma douche puis allais dans ma chambre pour prendre les dessous que je devais porter. Je commençais par les bas noirs. Je pris des bas coutures, je ne sais pourquoi. Dans ma tête c'était le classique avec des porte—jarretelles. Comme cela si un amateur de dessous voyait mes sous—vêtements grâce à la transparence de la robe, il pourrait croire que j'étais une vieille fille, une de ces filles qui aime les vêtements des années 30. En clair j'essayais de trouver une histoire pour diminuer mon angoisse d'être vue dans une telle tenue. Les bas une fois attachés au porte—jarretelles en dentelle noir, je remontais mon string lui aussi en dentelle noire. La dentelle permettait d'apercevoir ma peau, mais difficile avec une robe par—dessus de pouvoir voire mon intimité ... enfin je l'espérais et n'avait pas envie de me regarder dans le miroir de peur d'être contredite par les faits. Ensuite, j'agrafais mon soutien gorge dont les bouts rouges ressortaient de ...
... cette satanée dentelle noire. Enfin, j'enfilais la robe maudite avec ces deux cordelettes que j'appréhendais tant. La transparence n'était pas aussi forte que je le craignais. En fait, le contre—jour était à proscrire car dans ce cas là effectivement elle était très transparente et dévoiler automatiquement tous les dessous. J'arrivai donc au travail très tôt afin de pouvoir partir à la première heure, et ainsi avoir à côtoyer mes collègues le moins de temps possible. Malheureusement pour moi, mon chef était déjà présent et semblait de forte mauvaise humeur. M'apercevant de loin il m'appela cinq minutes plus tard et me convoqua dans son bureau. J'étais tout bonnement terrifiée. Pourquoi voulait—il me voir? Qu'avais—je fait de mal? Allait—il s'apercevoir de la tenue que je portais? Cela tombait en tout cas au plus mauvais moment cet entretien. J'arrivai donc dans le bureau de mon chef qui me demanda de fermer la porte puis de m'avancer. Son visage sévère ne laissait rein présager de bon. — Patron : Avancez Laurence, venez devant mon bureau. — Moi : Qu'y a—t—il Monsieur? — Vous savez je suis quelqu'un de tolerant et ouvert, mais je n'aime pas les personnes qui mélangent travail et plaisir. — Je comprends tout à fait ... mais je pense que je n'ai pas commis d'erreur Monsieur. — Quand je vois la tenue d'aujourd'hui vous comprendrez que j'ai des doutes??? Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai demandé de venir. — Pourquoi alors Monsieur? — ...