1. Qui suis-je vraiment? 09


    Datte: 17/04/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica

    ... douce assurance pour
    
    redevenir la fébrile soumise qu'on aime tant. Le petit dessein que nous avons à son égard est idéal en cela. 😉
    
    — Moi : Mais qu'est ce que vous manigancez?
    
    — Jean : Arrêtes de réfléchir et désape toi immédiatement en enlevant ce fuseau qui moule si bien ton petit cul.
    
    —Fabrice : Oui et voyons ce quelle porte comme dessous quand on ne lui demande rien!
    
    Comme exigé mais les joues pourpres je me levais et de manière maladroite en raison de la neige je défis mon pantalon de ski. Ils purent dés lors admirer mon Tanga en dentelle noir. Pour me mettre mal à l'aise, ils me sifflèrent comme les matelots le long des quais selon certains clichés cinématographiques.
    
    — Nietzsche : Mets—toi à quatre pattes qu'on matte ton fessier avec sa guirlande noire.
    
    —Fabrice : Et profites en pour te caresser l'entrejambe afin de te réchauffer le minou!
    
    Mon assurance avait bel et bien disparu. Je me mettais en position inquiète par ce qu'ils avaient en tête et effrayée que des gens m'aperçoivent ainsi.
    
    L'attente pour mon supplice ne fut pas longue. Sans prévenir Nietzsche prit ma culotte et la descendit brusquement jusqu'à l'inflexion de mes genoux. Puis d'une main il écarta les lèvres de mon sexe pour de l'autre y introduire de la neige.
    
    Le froid me saisit au point de gémir, mais Fabrice m'ordonna immédiatement de me taire ce que je fis sur—le—champ.
    
    — Fabrice : Au lieu de crier tu devrais te préparer pour la suite car cela n'est qu'un ...
    ... hors d'œuvre!
    
    — Nietzsche Il a raison Laurence ... tu vois cette stalactite, et bien tu vas la sucer.
    
    Comme cela, cela te fera oublier le froid qui secoue ton bas—ventre.
    
    — Moi : Mais ce n'est pas de ma faute, c'est le froid qui m'a brûlée le sexe et puis je n'étais pas prête.
    
    — Jean : Alors tu n'as pas fini de crier car je vais te remplir ton con de neige.
    
    — Fabrice : Mais surtout tu as intérêt à bien sucer cet embout de glace et par—dessus tout en arrondir l'extrémité!
    
    — Moi : Pourquoi cela?
    
    — Jean : Parce que ce pieu va servir à enfoncer la neige dans ta chatte. Tu
    
    comprends?
    
    — Moi : Non s'il vous plaît, je vous ferais pleins de gâteries en échange mais pas cela.
    
    Je suis frileuse et je vais prendre froid.
    
    — Nietzsche : Quand on est chaude comme toi il n'y a que la neige pour calmer tes pics de chaleur.
    
    La messe était dite, et Fabrice sortit son sexe raide de part l'excitation de ce scénario tandis que Nietzsche me caressait la tête tel un chien pour le féliciter de son comportement, et plus particulièrement de mon ardeur à préparer ce bâton de glace.
    
    Au bout de cinq minutes, j'avais le vagin remplit de neige, quand Nietzsche me planta sans coup férir le mandrin glacé dans mon anus.
    
    Excité, que dis—je surexcité, Jean sortit son sexe et me le fit lécher, alors que Fabrice investissait mon sexe avec sa verge afin comme il se plut à le dire, de faire fondre laneige. La sensation de brûlure laissa place à une douce sensation de ...
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