Qui suis-je vraiment? 09
Datte: 17/04/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... chaud—froid.
Nietzsche, quant à lui, se mit à bouger le pic de glace pour activer mon plaisir. Je
commençais à haleter mais mes petits cris étaient étouffés par le bâillon de chair de Jean. Ce dernier céda sa place à Fabrice qui se précipita et me fit avaler sa chaude semence tandis que Jean au fond de mon vagin s'agitait fermement afin de prendre son pied.
Je finis par avoir des secousses et jouir en raison des multiples assauts. Mes muscles se comprimèrent autour du membre de Jean, ce qui eu pour effet de déclencher sa jouissance. Il sortit ensuite sa bite en berne de mon antre.
Quelques instants plus tard, perdue, le regard dans le vide, ne voyant plus mes
compagnons, je me relevais et voulus naïvement extraire le plug de glace, avant de rajuster ma culotte et mon fuseau.
Sans attendre plus longtemps mon maître d'un geste ferme m'empêcha d'ôter l'objet.
Au même moment Fabrice valida définitivement la décision en remontant le Tanga le plus haut possible jusqu'à faire rentrer le tissu dans ma raie. De fait, le pieu de glace coulissa de nouveau dans mon anus ce qui déclencha un éclair de plaisir tout au long de ma colonne vertébrale.
Je dus par la suite skier pendant une heure tout en étant sodomisée par cet engin. Ces messieurs ne se génaient pas pour m'obliger à plier les jambes ou à me courber afin que je profite à fond de ce membre. J'avais du mal à me concentrer, mon visage était rouge de honte d'anxiété... de plaisir aussi, mais où allaient—ils ...
... chercher des idées pareilles.
Après une heure de supplice, ils compatirent et me proposèrent de l'enlever mais pour se faire je dus, au cours d'une montée en œufs, baisser à nouveau mon pantalon de ski ainsi que ma culotte. Le reste de stalactite sorti, ils me forcèrent à coller mes fesses à la fenêtre afin d'être vue de tout skieur ayant la tête en l'air tandis que je leur taillais de pipes.
L'enjeu était de remonter mes affaires que si l'un des trois arrivait à éjaculer, tout en maintenant les deux autres queues excitées. Heureusement pour moi que ce remonte pente était long car ce n'est qu'au dernier pylône que Jean me récompensa à nouveau en déversant son jus sur mon pull. Je m'empressais de me rhabiller mais en contrepartie je finis la journée avec cette belle preuve de mon attrait pour le sexe.
Le reste de la semaine fut plus calme. Certes je fus obligée de préparer des repas nue ou servir en me déhanchant pour faire ballotter mes seins. Bien sûr les voisins étaient invités au spectacle puisque les rideaux étaient plus qu'entrebäillés, mais il semblerait que le ski fatigue car mes compagnons ne virent aucun « observateur » aux fenêtres.
Quant au reste, rien de plus classique que de partager mon corps avec trois hommes prêt à me soumettre à leurs envies les plus folles... voire tout simplement à me soumettre.
Et le travail dans tout cela:
Les vacances étaient finies, bien trop rapidement à mon goût, je retrouvai mon fils que j'avais envoyé en colonie. ...