1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1594)


    Datte: 16/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... pendant un bref instant par la lumière…
    
    -Je te félicite, tu as tenu 1h sans jouir… Maintenant passons à la deuxième punition… Pour cela suit-moi, je vais t’emmener dans un lieu qui est considéré comme celui où recèle le véritable trésor viticole du Domaine de la Famille des Evans, je veux parler de l’impressionnant et exceptionnel chai, où sont remisés plus de 2000 tonneaux du Domaine, oui tu as bien entendu 2000 fûts de vin des vignes des Evans…
    
    Alors Walter m’emmena dans ce chai que je n’avais pas encore eu l’occasion de visiter. Quand je fus entrée dans cette si vaste, si profonde et si haute cave, entièrement voutée en pierres de taille, et qui devait faire environ 100 mètres de long, sur 20 de large et 10 au point le plus haut du faîtage de la voûte, je fus extrêmement impressionnée. Car il y avait là, en effet, des milliers de gros fûts de vin, tous impeccablement couchés er empilés sur plusieurs mètres de hauteurs et sur plusieurs rangés, espacées entre elles par de larges allées bétonnées… Il y règnait une certaine humidité pour la bonne conservation du vin... Et, au détour d’une allée, je vis au centre de celle-ci, un vaste et immense tonneau de 100 litres de vin environ au diamètre impressionnant et positionné debout à la verticale et je me demandais à quoi il pouvait bien servir car il avait un énorme mat métallique vertical en guise d’axe et qui le transperçait de part en part, par le milieu, permettant ainsi la ...
    ... rotation du tonneau…
    
    Monsieur Walter, sans le moindre mot, m’attacha chaque poignet et chaque cheville, tous bien écartés, à des anneaux en fer soudés et situés sur les barres en fer du tonneau, de manière à ce que ma poitrine fusse écrasée contre la paroi du fût de bois, que mon cops écartelé soit bien plaqué contre ce tonneau. Et laissant ainsi tout le dos de mon corps et ma croupe bien exposés, mon corps épousant solidement les formes du tonneau. Ainsi mon corps et le baril devenaient solidaires, ne faisant plus qu’un. Le Majordome actionna un levier qui permit une rotation à 380 degrés du tonneau via son axe, le mat métallique qui tournait sur lui-même. Puis Walter attrapa un chat à neuf queues qui attendait, son utilisation, posé sur une tablette à côté. Pendant que je tournais doucement, entraînée par le tonneau devenu circulaire dans sa rotation, et à chaque tour, lorsque je me passai devant le Majordome, je sentais une violente douleur cuisante et je dus me retenir pour ne pas hurler face à la flagellation du chat à neuf queues. Je reçus ainsi un coup de chat à neuf queues à tous les tours et durant 15 minutes environ. J’étais incapable de compter tant la douleur fut intense mais ce que j’étais sûre c’est que mon corps était complétement zébré et que je ne savais pas le nombre de coups que j’allais recevoir. Mais je me surpris de constater que cette punition, aussi dure soit-elle, me faisait mouiller …
    
    (A suivre …) 
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