1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1594)


    Datte: 16/04/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... occasion mon cul. Puis il harnacha solidement ma taille à une solide sangle montant au plafond afin que mon corps puisse rester droit à l’horizontal. Walter mit en marche le vibro via une télécommande à distance. J’entendis ses bruits de pas qui s’éloignaient pour aller dans la salle des machines pour les derniers réglages… Je sentis alors que le mannequin s’éleva doucement dans les airs et je sentis déjà que cela commençait à tirer dans les bras et les jambes écartés. Je compris alors que tenir durant une heure sur cet esclave-chien de bois à l’allure d’un cheval de bois n’allait de toute évidence pas être chose aisée. Le Majordome mit en marche le manège qui montait et descendait en même temps que le vibro s’accélérait grâce à sa télécommande. Cela fit bouger et encore plus écarter mes jambes et mes mains dans le vide et qui pendaient et bougeaient de manière pitoyable. A chaque montée et descente, le plug s’enfonçait encore plus dans mon anus, le vibro était aussi en mode rapide et je sentais à chaque instant sa présence constante dans ma chatte de trainée… Ainsi je ne pouvais pas oublier les sensations d’excitations se faisant de plus en plus pressantes...
    
    Je n'oublierais pas un seul instant la menace de perdre ma place aux pieds du Maître si je faillis une nouvelle fois… Plus le temps passait, plus ma chatte de chienne avec le vibro, et mon cul de salope avec le plug, devinrent de plus en plus douloureux. J’avais la vue parfaitement occultée par le bandeau, ce qui ...
    ... rendait toutes ses sensations encore plus étranges et beaucoup plus perturbantes. En effet, c’était comme si j’avais complètement perdue la notion du temps. Et plus ce temps passait, plus mes articulations devenaient douloureuses. A chaque montée et descente, je sentais mes trous de catin en feu. J’avais l’impression que cela faisait dix heures que j’étais sanglée sur cet esclave en bois tant de nombreux sensations à la fois complexe et antagonistes se mêlaient les unes aux autres par rapport à l’excitation, à la douleur, à la perte de repères et à la notion du temps que je ne maitrisais plus...
    
    Et c’est donc après une heure de tous ces mélanges de ressentis où je réussis, tant bien que mal, à ne pas lâcher un seul orgasme que le manège s’arrêta tout à coup. J’étais tellement soulagée d’avoir tenu, sans avoir failli, et avoir été le plus digne qu’il m’était possible de l’être durant cette difficile punition. Monsieur Walter revint et actionna la machine qui fit descendre le mannequin en bois du carrousel à même le sol. Il arrêta le vibro avec sa commande puis me détacha progressivement les bras et les jambes des sangles puis retira brusquement le sparadrap et le vibro. Le Majordome m’enleva le plug de mon anus, les pinces aux tétons et les cordes. Walter me souleva du carrousel puis me déposa sur le sol. J’eus du mal au départ à retrouver mon équilibre et il me fallut quelques minutes pour me mettre à quatre pattes. Il m’enleva enfin le bandeau des yeux, je fus aveuglée ...