1. Chauffeur, guide, et plus si affinité !


    Datte: 15/04/2025, Catégories: fh, fhh, 2couples, candaul, voyage, bus, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, occasion, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... baiser. Abandonnés, les lents mouvements. Je la bourre très fort. Très vite, le claquement de mon ventre contre ses fesses résonne dans le bus.
    
    — Oh, Chéri, c’est bon. Tu vois comme il me baise bien.
    — Oui, je vois. Tu en avais envie, hein, cochonne ?
    
    Il me regarde.
    
    — Tout de suite, elle a eu envie de vous. Hier déjà, elle voulait venir, mais nos enfants ont appelé.
    
    Son regard se tourne vers elle.
    
    — Tu le sens bien, hein ? J’ai vu tout à l’heure comme il est bien équipé.
    — Oui, oui.
    
    J’interromps ce bavardage qui me déconcentre en redoublant d’efforts et en posant mes mains sur les épaules de l’épouse. Je l’attire vers moi, la cambrant pour avancer encore plus.
    
    L’homme a enlevé son short. Il s’est levé et placé face à son épouse. Il bande. Si à un moment j’ai pensé que le couple cherchait un amant parce que le mari n’avait pas ce qu’il fallait, alors j’avais tort. Son sexe est court, mais puissant, gros, veiné, le gland formant un champignon dont le pied est de la même veine.
    
    Il se branle devant elle.
    
    Elle gémit. Une seconde, je pense qu’il va la lui donner à sucer, mais non. Il se branle. Elle avait raison, c’est excitant. Une sorte de défi amical, qui me force à donner tout ce que j’ai.
    
    — Si tu veux, tu peux la prendre par-derrière ! Elle aime bien et moi aussi.
    
    Il ne faut pas m’en dire plus. Moi aussi j’aime bien. Il veut la voir, il va la voir. Je me retire.
    
    — Penche-toi. Encore, encore, sur le siège.
    
    L’homme sourit de ...
    ... m’entendre la commander ainsi. Elle obéit. Son petit trou est bien visible. Je laisse tomber un peu de salive, que je guide avec mon sexe. Je suis à la porte. Je vois son muscle bouger. Elle se prépare. Elle sait comment faire.
    
    Je pousse.
    
    Je pousse.
    
    C’est étroit, mais la salive et la capote encore chargée du jus de femelle font leur travail. Je l’enfile bien à fond. Romain qui est debout voit comment je la possède. Il me sourit à nouveau.
    
    — Tu le sens bien, Chérie ? Il n’est pas trop long pour toi ?
    — Je…
    
    Un soupir alors que je commence à bouger, mes mains bien agrippées à ses hanches.
    
    — … Il est gros, mais…
    
    Un cri alors que je la reprends d’une poussée.
    
    — … C’est bon, encore…
    — Tu peux y aller franchement. Elle aime. Quand tu viendras, tu veux bien cracher sur ses reins ?
    
    Je ne réponds pas. Si j’ai déjà baisé des femmes dans des soirées où l’alcool coule à flots, dans une ambiance que nos ancêtres les Romains auraient appréciée, c’est la première fois dans ce genre de situation. C’est troublant, par la présence de l’homme, encore plus par ses paroles. Je pensais que le mari ne faisait que regarder. Pas lui.
    
    Mais sa présence est bienveillante. Il se branle sans pudeur. Il parle à son épouse. Ce sont des paroles d’amour. Une sorte de duo dont l’une ne répond que par des gémissements. C’est moi qui lui procure ce plaisir. Elle se caresse le clito. Elle jouit. Il l’encourage, la félicite, la traite de « cochonne », de « salope », mais ce sont des mots ...
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