1. Détective très privé


    Datte: 27/07/2019, Catégories: fh, magasin, essayage, cérébral, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... dans un grand magasin, je vais pouvoir m’approcher. Elle monte un étage, je suis juste derrière dans l’escalator. Sa robe laisse voir le derrière de ses genoux. Je suis à cinquante centimètres de ses fesses et du reste. Elle se choisit un maillot de bain, mini, mini ! Elle entre dans une cabine d’essayage. Non, mais elle le fait exprès, ce n’est pas possible. Elle se rend compte dans quel état elle me met. Et le rideau de la cabine qui ondule sans qu’on ne puisse rien apercevoir… Ça y est, elle a pris le plus sexy. Elle me rend fou.
    
    Bon, je vous ai avoué ma faiblesse, mon peu de résistance dans certaines occasions, mais sachez que je ne suis pas toujours comme ça. Une fois, j’ai duré quarante-cinq minutes avant de lâcher la semence. Quarante-cinq minutes et j’y suis allé de bon cœur, tellement j’étais fier de moi. Je suis donc capable de me retenir. C’est seulement une question de concentration. C’était avec Nathalie, au temps où nous nous aimions fort tous les deux. La Nathalie, je l’ai retournée dans tous les sens. Je lui ai tout fait.
    
    Elle commençait toujours par une fellation. Quand j’ai senti que j’allais venir, je l’ai allongée habilement et je l’ai pénétrée tout doucement. Je suis resté un moment sans bouger, par prudence. Puis, progressivement, et aussi parce qu’elle se demandait pourquoi il ne se passait plus rien, je pris mon rythme. Mais calme, déroutant, avec un doigt qui lui forçait l’anus. Elle n’aimait pas trop, mais elle laissait faire. Puis quand j’ai ...
    ... senti que j’étais au bord de l’explosion, je l’ai retournée et je l’ai sodomisée, mais gentiment, sans la brusquer.
    
    D’ailleurs, elle m’a dit qu’elle avait pris du plaisir pour la première fois par le fion (elle dit toujours le fion et elle assure que ce n’est pas vulgaire ; moi je lui dis que c’est vulgaire, mais elle fait comme elle veut). Vous vous rendez compte, tous les bons points que je me donne sur cette histoire-là ! Mais bon, quand je suis défaillant, je suis défaillant ; quand je ne le suis pas, je suis très vaillant. Parce que quarante-cinq minutes, il faut les tenir. Nathalie a hurlé son plaisir et moi, le devoir accompli, le travail bien fait, j’ai pris le mien sans me presser en lui inondant les fesses. Il aurait fallu filmer cette fois-là.
    
    Et puis, il y a eu d’autres fois où ça s’est bien passé. Bien sûr, pas quarante-cinq minutes, mais quand même ça a duré le temps qu’il faut. Et, sans mentir, j’en connais quelques unes qui ne se sont pas plaintes, bien au contraire. Alors, me direz-vous, qu’est-ce que tu attends ? Aborde cette fille, au pire c’est un refus, ce n’est pas dramatique. Non, ce n’est pas possible. Je suis sûr qu’elle va à la rencontre d’un amant, grand et beau, blond et bilingue. Il est évident qu’elle a rendez-vous. Elle regarde sa montre de temps à autre et elle va clairement quelque part. Il faudrait un fait hasardeux pour que je puisse me permettre de lui adresser la parole, une glissade, un objet qui tombe de son sac, une bousculade. ...