1. Je vous regardais...


    Datte: 13/04/2025, Catégories: jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... inférieure.
    
    Étrangement, ce sont ses pieds qui ont d’abord attiré mon attention. La jeune femme porte des sandales spartiates. Une semelle de cuir beige, garnie de lanières. De fines attaches rouges. C’est fou ce que deux petites bandes de cuir peuvent apporter à un pied et à une cheville. Elles les habillent tout en les laissant nus. Chevilles délicates et mollets au galbe parfait.
    
    La robe est très simple. L’étoffe légère. Un tissu rouge sang. Une robe qui découvre ses bras. Les boutons délaissés laissent une gorge bronzée à l’air libre.
    
    Quand elle s’est assise, j’ai pu voir ses seins bouger sous le tissu. Je les devine libres de toute entrave. Je les imagine plutôt petits et les espère fermes et ronds.
    
    Jambes croisées, cette femme m’offre sans le savoir, le droit de fantasmer. Ses genoux ronds et le haut de ses cuisses nues sont des images agréables, à se mettre sous la dent. Simple façon de parler bien sûr. Encore que…
    
    Porte-t-elle quelque chose sous cette robe ? Une petite culotte ? Un string ? Est-elle nue sous ce léger vêtement ? Non. Elle n’est pas du genre à ne pas porter de culotte ! Le genre… Le genre de femme qui… Le genre d’homme à… Qui aurait pu penser que ma voisine était du genre à gambader à poil sous sa jupe ? Pourtant, un coup de vent de novembre, violent et malicieux, avait rabattu sa courte jupe sur son dos, m’offrant ses fesses nues, alors qu’elle s’éreintait à caler le siège-auto de son fils, sur la banquette arrière de son véhicule. ...
    ... Qui aurait pu songer que cette jeune femme qui me détestait, aigrie et plutôt revêche envers notre petite communauté, avait d’aussi jolies fesses. Une fille plutôt banale, sans véritables attraits, et qui ce jour-là, inconsciente de le faire, avait éveillé mes sens.
    
    La femme sur le banc, elle, me plaît beaucoup. Quel plaisir ce serait de savoir qu’elle est totalement nue sous sa robe légère… ! Elle bouge enfin ! Pourquoi cette gêne quand son regard a glissé sur moi ? Je ne fais rien de mal. Je la regarde…
    
    Dans son mouvement, la cuisse qu’elle laissait reposer sur l’autre s’est découverte un peu plus. Elle a décollé son dos du bois peint en vert, et doucement, s’est laissée glisser sur son banc. Elle est allongée. Main sous la tête, elle regarde le ciel. Ou peut-être a-t-elle ses yeux fermés ? J’imagine simplement qu’elle regarde le ciel. Elle a relevé une jambe lentement, et son bras libre s’est collé à l’étoffe de sa robe pour que le vêtement ne glisse pas sur sa peau.
    
    C’est ce geste si simple, si naturel, qui a tout déclenché. C’est venu d’un coup. J’ai imaginé une cuisse dénudée et le léger vêtement rabattu sur son ventre, me laissant voir une hanche nue. Puis, j’ai regardé ses doigts. De longs doigts nerveux qui se débarrassaient rapidement des petits boutons qui fermaient la robe rouge sang. Un à un… La robe s’est ouverte sous sa main. Sa cuisse relevée me cache son ventre, mais je me régale de ses petits seins nus qui dansent lascivement, quand elle se redresse ...