L'omelette aux cèpes
Datte: 11/04/2025,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
couleurs,
forêt,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
nopéné,
jeu,
init,
aventure,
sf,
prememois,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... malgré son apparence juvénile, le tanneur était bien plus âgé que son ami. Il allait sur ses dix-neuf ans, mais paraissait bien plus jeune. Il était également l’opposé d’Élias dans son physique. S’il était aussi beau que son ami, la ressemblance s’arrêtait là. André était brun et gardait ses cheveux coupés très courts. De beaux yeux marron, souvent rieurs, dans un visage agréable et un brin trop long lui donnaient un charme certain. Le jeune tanneur n’était pas très grand et pas très costaud, ce qui ne l’empêchait pourtant pas de travailler dur.
— Eh ben ! T’es en grande forme, mon André !
La jolie brune avait lâché un autre rire, quand son amant une fois debout, avait retiré son pull-over et baissé les pantalons sur ses cuisses avant de s’en débarrasser. Il bandait très fort et son membre turgescent pointait fièrement contre son ventre. Sous sa tunique, Adeline sentit les petites sphères fermes de ses seins se gonfler et leurs pointes durcir pour griffer le tissu. Quand le tanneur reprit sa place, la lanceuse de couteaux jeta un coup d’œil sur son amie.
— Comment tu le trouves, le sexe d’mon amant ?
La bergère détourna son regard gris d’André et retint un soupir. À sa grande surprise, elle n’avait pas pu s’empêcher de regarder le petit spectacle du tanneur qui exhibait son érection.
— Euh… Il est gros…
— Oh ! Pas tant qu’ça, tu sais…
— Je… Si tu l’dis.
— Je l’dis, oui. J’ai vu plus balaise, mais c’est pas l’important. La bite d’André m’plaît beaucoup et ...
... elle est toujours bien dure…
La lanceuse de couteaux, assise cuisses serrées, crut qu’elle transpirait plus encore d’un seul coup. Une vague de chaleur l’enveloppa brusquement et elle lâcha un petit soupir agacé.
— On crève de chaud ici… T’as pas envie d’te mettre à l’aise, ma Viviane ?
— Il faut que j’file… J’dois aller surveiller mes moutons…
Sa très longue narration terminée, Sybille avait ensuite exposé ses ébauches de plans de bataille à une Lyrie devenue plus attentive encore.
— Lilas ne m’a pas parlé de tout ça.
— Il ne faut pas lui en vouloir. Lilas a tout de suite tenu à ce que tu sois protégée, mais c’était tout ce que l’on pouvait faire pour une parfaite inconnue. Très vite, elle voulait tout te dire, mais cette chère Lilas avait des ordres. Les miens.
— Je comprends…
— Tu veux connaître ton avenir chez nous, Lyrie ?
— À voir ta tête… je crois qu’il ne me plaira pas.
— Tu seras très vite vendue. Les hommes en parlent déjà !
— Qui en parle ?
— Les hommes. Ceux du conseil et beaucoup d’autres…
— Parce que je n’aime pas les chiens ?
— Sois un peu sérieuse !
Le pâle sourire de la grande Parisii disparut et elle hocha la tête, faisant doucement danser la tresse épaisse couchée sur son épaule gauche.
— Je crois que je ne vais pas rire longtemps…
— Tu as survécu à des horreurs. Tu es belle, forte, courageuse et intelligente. Tu sais lire et compter… et surtout tu es l’espoir ! Les femmes de moins de quarante ans sont très rares. Très peu de ...