Les bons comptes font les bons amis
Datte: 08/04/2025,
Catégories:
fhh,
fagée,
candaul,
plage,
cinéma,
hsoumis,
fdomine,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: MauriceBernard, Source: Revebebe
... de nous rendre à un spectacle musical en plein air, à quelques kilomètres de là. Dès que nous faisons quelques pas dehors, mon adorable coquine se colle contre moi, marchant lentement en me serrant la taille, et arrivée près du véhicule dans l’ombre du parking, elle me pousse contre la portière avant que je ne l’aie ouverte. Alors, elle se comporte comme j’adore qu’elle le fasse : d’une part son allure de mince et élégante bourgeoise sexagénaire, de l’autre, son ventre qu’elle pousse contre le mien pour s’y frotter lentement et y chercher la forme de mon sexe tendu. Sa mince bouche ouverte sur la mienne, sa langue vient tournoyer autour de la mienne alors que, déjà, d’une main agile et souple, elle entreprend d’ouvrir mon pantalon pour en extraire ma pauvre bite bien trop confinée.
— Mon pauvre ami, je me doutais bien que notre conversation t’avait ému. Attends, je ne vais quand même pas te laisser comme ça, cela ne serait pas charitable, me glisse-t-elle, souriante, en se plaçant à genoux devant mon gland qu’elle entreprend de lécher, puis de suçoter délicatement.
Levant ses beaux yeux rieurs, elle avale alors lentement toute ma queue et je suis, encore une fois, étonné par son talent de suceuse. Il est vrai qu’avec les expériences qu’elle a rappelées tout à l’heure au restaurant, elle a de quoi savoir y faire ! Ses deux mains manucurées jouent avec le membre et mes couilles alors qu’elle pompe profondément et aspire le gland au creux de sa bouche chaude. Trop excité ...
... par la soirée et la fellation qui s’en suit, tout en caressant les courtes mèches blanches sur sa tête, je la préviens que je ne saurai me retenir plus longtemps et, comme il ne faut pas que je tache son chemisier avant le concert, je m’abandonne au plaisir qu’elle m’offre une fois encore en me déversant dans sa gorge.
— Mmmh ! glousse-t-elle, la bouche encore pleine de foutre. J’adore quand tu jouis comme ça…
Et ce faisant, elle avale le tout en me regardant, puis nettoie mon gland du bout de sa langue.
— Allez, avoue maintenant, insistai-je. C’est comme ça que tu les séduis les autres ?
— Qui sait ? répond-elle, mutine. Va-t-on savoir, n’est-ce pas ?
— Tu es une vraie canaille à jouer ainsi avec moi, te laisseras-tu aller aux confidences complètes un jour ?
— Qui sait ? répète-t-elle. En tout cas, je te propose de t’offrir un bon souvenir ce soir… mais chut, c’est encore un secret !
Et de fait, nous partons pour le concert.
Quelques minutes plus tard, la soirée d’été étant un peu avancée, nous nous dirigeons à pied vers la zone extérieure réservée au spectacle, une aire engazonnée sur laquelle sont disposées des rangées de chaises accrochées les unes aux autres, face à une petite scène sur laquelle se produisent les groupes de blues inscrits au programme. Dans le bruit de l’excellente musique, Patricia me guide par la main vers les dernières rangées de chaises et semble chercher un peu, puis elle se dirige là où quelques places sont encore libres, passe ...